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Carnaval Des sourires

Un fichier secret s'est évadé du gouvernement ? Ou comment te manipuler...

Un fichier secret s'est évadé du gouvernement ? Ou comment te manipuler...

Le secret d'un Polichinelle covidiste

L’année 2019/2020 a mené à graver progressivement l’usage du masque dans les habitudes quotidiennes de la population mondiale. Pour la première fois de l’histoire de la résistance contre le covidisme politico-médical, une modélisation de la manipulation des masses par le masque est réalisée. Elle prend la forme d’une double pyramide. Chaque étage de ces pyramides repose sur la construction de l’étage précédent. Plus un étage est solide, plus ce qu’il supporte est stable. Mais sa fragilité dépend aussi de l’étage qui se trouve en dessous de lui.

La première pyramide est à l’endroit, elle représente le processus historique qui a conduit sur l’année 2020 à l’acceptation puis l’obligation du port du masque (sur décret d’octobre en France). Cette pyramide s’est faite de manière très stable : nous sommes passés de la rumeur chinoise d’un virus inconnu et très dangereux au confinement total de la population mondiale, en passant par la psychose générale, le tapage médiatico-politique (aidé par des chiffres affolants et sans base réelle…), les recommandations de plus en plus pressantes des mesures « sanitaires » et enfin la pénurie de masques « fiables », justifiant à elle seule le confinement international de mars 2020.

C’est en juin de la même année que le port du masque se présente comme la monnaie d’échange entre confinement strict et « libération », moyennant un tout « petit » confinement portatif en tissu sur le bout du nez. La stabilité puissante de cette première pyramide, dont l’intérêt est essentiellement historique aujourd’hui, a conduit ni plus ni moins qu’à l’acceptation générale - et l’accueil avec joie - du masque par des masses humaines encore très éprouvées par les rigueurs du premier confinement.

D’abord recommandé et limité à certains lieux publics, le masque prend de plus en plus d’importance. Grâce à la 1ère pyramide il devient omniprésent et jouit d’un prestige de justification considérable. Il pèse à lui seul le poids du monde et des centaines de milliards de dollars : responsable à lui seul du verrouillage de la planète entière, de l’enfermement de milliards de personnes et de la suspension, voire la faillite de millions d’entreprises de toutes tailles. C’est là qu’intervient la 2nde phase de la manipulation de masse, qui prend la forme d’une pyramide…à l’envers.

Désormais, à partir du déconfinement de juin 2020, tout va se construire sur le port du masque. Il n’est plus question…de le remettre en question. Un seul commandement : « tout ce qui démasquera ta face devra mourir » : les restaurants et cafés en paieront les frais en premier (incompatibilité foncière avec le masque), puis ce sera au tour de l’ensemble de la vie sociale. Privés de lieux de rencontre collective, le public acceptera plus facilement l’isolement avec des couvre-feux de plus en plus stricts et des reconfinements de plus en plus « soft ». De plus en plus déconnectée du réel, la logique populaire s’inverse graduellement : on avait mis le masque parce qu’il avait le « covid 19 », maintenant il y a le « covid(isme) 19 » parce que l’on porte le masque. Et on porte le masque parce qu’il est obligatoire.

Signal à lui seul de l’existence d’une épidémie (rapport OMS de juin 2020, que nous avons été les premiers à décortiquer dans le sens d’une manipulation en janvier/février 2021 : voir sur notre blog, manifeste du carnaval des sourires), le masque devient obligatoire en octobre 2020 dans la plupart des lieux publics. Il est de moins en moins utile dorénavant pour le régime en place de justifier son usage par des chiffres affolants de létalité comme il l’avait fait pour la 1ère pyramide (chiffres qui ont d’ailleurs beaucoup perdu de leur crédit depuis le bilan de l’année 2020) : l’obligation du masque dépend d’une décision laissée à la discrétion totale du gouvernement (format du décret) et qui n’a pas été invalidée par le juge administratif.

À partir de là, le masque va justifier à lui seule toute la politique covidiste (derniers étages de la seconde pyramide) : administration de « vaccins » obtenus à la sauvette et rapportant une fortune aux industries pharmaceutiques, établissement de passeport ou pass’ sanitaire, QR code, etc. Étouffée, prise en étau, soumise à ultimatums, la population (dont beaucoup de parents d’enfants opprimés par le masque à l’école) se jette désespérément en masse sur l’acceptation aveugle de ces mesures dangereuses et liberticides.

Or, cette 2nde pyramide souffre d’un défaut majeur, son talon d’Achille. S’étant entièrement construite sur le masque, elle est fondamentalement instable : si celui tombe, c’est tout le covidisme qui s’effondre avec lui. Il faut donc viser le port du masque et lui seul. Se battre contre les vaccins, passeports sanitaires, etc. revient seulement à se défendre passivement - jusqu’à quand ? - des coups mortels du covidisme. Mais refuser collectivement le masque équivaut à attaquer mortellement le covidisme.

Aujourd’hui, les gens portent principalement le masque pour au moins l’une des trois raisons suivantes (non-exclusives l’une de l’autre) :

  1. Ils croient au danger exceptionnel de l’épidémie
  2. Ils acceptent (même s’ils sont contre elle) la politique « sanitaire » du covidisme
  3. Ils ont peur des représailles administratives ou du regard des autres (conformisme social) plus que pour leurs libertés et leur bien-être.

Ces trois raisons sont un marqueur fort justifiant la continuation du covidisme par le gouvernement : « quoi que les gens pensent de l’épidémie, ils ne sont pas prêts à résister contre notre folie. Factuellement, ils sont d’accord avec nous, puisqu’ils continuent à porter le masque malgré ses pires désagréments ». Tant qu’il y aura le masque, il y aura le covid(isme).

Selon les diverses réactions de la population à ses mesures, le pouvoir va constamment réajuster son contrôle (voir curseur sur le schéma) en passant tantôt au port du masque seul, tantôt au spectre du confinement strict. Il se heurte à un problème : la 1ère pyramide, bien que plus naturelle (construite sur la peur de la mort et l’ignorance…) et ayant l’avantage d’être stable, n’est que peu ou pas reproductible étant donné qu’il n’est plus vraiment possible de « recommencer » la grande psychose 2020 des masses avec la même raison « coronale ». La 2nde pyramide, par contre, bien qu’instable et hautement artificielle (très « administrative » et cimentée par le conformisme social…), offre une meilleure reproductibilité, et partant les qualités d’un bon curseur réglable de contrôle de la population.

Les techniques de la 1ère pyramide étant de plus en plus désuètes car impraticables, le covidisme d’État mise toute sa reconstruction sociale, politique et mythologique de la réalité sur le port visible du masque par les foules, jouant le rôle de la tête centrale de l’Hydre (dont les têtes repoussaient sans cesse une fois coupées) combattue par Hercule. Ironiquement, l’arme de destruction massive du covidisme se trouve donc juste devant notre nez : le masque.

Le carnaval des sourires, jeune collectif aux premières loges de la Résistance contre la tyrannie covidique - dont il a théorisé les principaux concepts et une stratégie pour la première fois - mène justement une guerre exclusive et sans violence physique contre le port du masque. Son arme la plus puissante est la démonstration par l’exemple : rien ne prouvera mieux l’inutilité, la nocivité et l’importance stratégique du masque qu’en l’enlevant collectivement et en montrant que ce geste ne tue pas. Notre sourire en plein air est au covidisme ce que le soleil est à l’obscurité : incompatibles l’un à l’autre. Plus nos visages rayonneront, plus ils dissiperont les ténèbres de l’oppression. Inversement, plus on se masquera, plus le covidisme d’État gagnera du terrain.

Pour le philosophe Bergson, le rire était de la mécanique plaquée sur du vivant. Pour nous, le sourire est du vivant plaqué sur de la mécanique : celle des individus transformés en corps robotisés par la maladie du covidisme. C’est là aussi l’une des missions de notre Carnaval : redonner vie à ces gens. À la fin, il ne restera qu’un seul vainqueur : faisons en sorte qu’il soit notre sourire.

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