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Carnaval Des sourires

Le discours du général : « notre projet…devenir fous »

A titre illustratif : le vice-amiral Muselier, chef nommé par De Gaulle des Forces françaises navales libres (2nde guerre mondiale).

A titre illustratif : le vice-amiral Muselier, chef nommé par De Gaulle des Forces françaises navales libres (2nde guerre mondiale).

Le discours du général :

« notre projet…devenir fous »

Petit guide pour vrais leaders et engagés de la Résistance

Par BLK

Collectif Carnaval des sourires

Le 18 juin 2021

Version originale : proposition de « discours aux résistants » (version longue du 07 mai 2021) adressée au Grand Théâtre de Dijon

"J'ai un projet : devenir fou. Que les gens se démènent, qu'ils me soignent, qu'ils essaient de me rendre la raison", Dostoïevski

Introduction

Ce discours est publié à l’occasion de l’anniversaire de l’appel du général de Gaulle du 18 juin 1940. Il est destiné à donner un "coup de fouet" fulgurant à la Résistance contre l'oppression du Covidisme d’État.

Pardon à l’avance pour les neurones qui sentiront « l’opium brûlé ». C’est un peu le but. Le discours du général est prévu pour être clamé au micro par nous, en tenue de général d'armée, afin de rappeler au peuple français et au monde que la Résistance est une affaire sérieuse, digne des plus grands stratèges militaires, trop sérieuse pour ne pas être prise en main par un Carnaval…des sourires.

Le pouvoir officiel a pris depuis longtemps sa guerre d’agression au sérieux, alors que le peuple patauge encore dans sa résistance. Il s’agit d’une guerre de la visibilité (montrer partout les signes d’une épidémie fantasmée et de l’obéissance au covidisme) à laquelle doit répondre une contre-offensive de la visibilité. Il y a des progrès de notre côté.

C'est une guérilla des sourires que nous vous demandons, d'être des guerriers du sourire, de reconquérir progressivement - comme une armée de la résistance qui récupère son pays - vos visages démasqués, vos sourires, vos rues, parcs et jardins, magasins, places publiques, monuments, écoles, transports en commun, villes, campagnes, ...France toute entière par le « smile », allez planter partout votre drapeau de la victoire avec le mot « souriez ! ». Nous avons déjà commencé à le faire de notre côté. Priorité donnée à la « résistance junior » : la grandeur d’un homme passe par sa capacité à se faire assez petit pour se mettre à la place d’un enfant.

La lumière du soleil serait « l'ombre de Dieu », selon Platon...De la même façon, le covidisme d’État n'est que l’obscurité de votre sourire. Plus celui-ci brillera, plus celui-là disparaîtra en fumée. Le soleil de votre visage sans masque « sanitaire » est le pire ennemi de la tyrannie covidique : si l'un s'affaiblit, c'est l'autre qui prendra le dessus. Elle règne parce que vous n’êtes plus vraiment là. Faites rayonner partout vos sourires magiques pour dissiper les ténèbres de cette crise ! La révolution des sourires, c’est un peu comme le « soleil » révolutionnaire de 1789 vu par Bonaparte : il y a ceux qui en abusent, ceux qui en vivent et ceux qui s’en protègent.

On le voit dans ses publicités odieuses de propagande : le covidisme officiel a matraqué dans l’âme des gens que la joie, la famille, le social et le naturel conduisaient à la maladie, d’où la justification des mesures antisanitaires comme le masque : il est presque devenu une seconde nature. C’est pourquoi nous devons graver au même endroit chez les gens l’image contraire : c’est le démasquement qui mène à leur santé et à leur bien-être. C’est un théâtre réaliste que nous jouons pour rappeler à leurs sens le passé naturel de leur corps et de sa vie intérieure. À toi de choisir entre rester un simple fumeur d'opium de l’information ou le résistant héroïque d’une brigade des sourires…

Salut à vous, frères et sœurs de la Résistance, amis, gens du Grand théâtre

Dissipons avant tout un préjugé tenace que « seuls les textes/vidéos courts sont lus/visionnés par les gens » : non, tout dépend de leur qualité et à qui elles s'adressent, leur public. Les textes/vidéos longs et techniques sont à réserver aux leaders, les courts aux suiveurs. Le présent guide s’adresse donc en priorité aux vrais résistants, hommes et femmes désintéressés, de terrain et de grande vertu, appelés ou capables de prendre des rôles de commandement dans la Résistance actuelle contre l’oppression covidique. 

Dans son décret de sortie de crise du 1er juin 2021, le gouvernement a assoupli toutes les restrictions…sauf le masque et la distanciation sociale. Or le 1er ministre vient d’annoncer (contre l'avis du ministre de la santé) la "fin" du port du masque en extérieur dès ce jeudi 17 juin 2021…sauf en magasins, transports, écoles, lieux de regroupement, etc. Donc sans lâcher définitivement leur meilleur outil de contrôle. C'était la prochaine étape prévisible de relâchement après la réouverture des restaurants etc. (Voir double pyramide de manipulation). Ils sentent leur masque en danger et évitent de trop le mettre à découvert. Technique bien connue de manipulation : vous enlever un peu le masque avant que vous ne l'enleviez complètement vous-mêmes.

L'été arrivant, le vent de la presse tournait peu à peu en défaveur du masque. Même les médias « mainstream » commençaient à en avoir marre : "des Français de plus en plus nombreux enlèvent le masque à cause de la chaleur de l'été", etc. En réalité, ces Français existaient déjà depuis des mois, le carnaval des sourire était de leur nombre, mais on ne voit que ce que l'on veut voir. 

Tout reste à faire en matière de résistance des Français puisque ces mesures d'assouplissement ne viennent pas directement d'eux-mêmes, hormis l'action de "groupuscules" comme le nôtre. Le combat n'est donc pas terminé, même si l'on peut savourer ce retour provisoire à un semblant de vie normale. Et il faut plutôt que jamais rendre notre collectif le plus performant possible, en orientant peut-être plus nos actions vers l'intérieur (transports, etc.).

 C'est quand l'oppression se relâche que la résistance doit se durcir. Rappel du paradoxe de Tocqueville (philosophe politique aristocrate du XIXe) : c’est au moment où la monarchie de l’Ancien Régime a commencé à s’assouplir et aller dans le bon sens que la Révolution française a éclaté. Aujourd'hui le gouvernement relâche un peu sa tyrannie, mais ce sera plutôt pour mieux jouer au « yoyo » manipulatoire avec son peuple par la création d’une sorte de « machine perpétuelle » de contrôle, moteur cyclique à confinement/masque/déconfinement, alimenté chaque année par les quatre saisons.

Ce carnaval des sourires nous l'avons arraché de force, à chaque coup de gueule, à l'humeur noire de cette crise. Notre "ego" de carnavalier ne demande qu'à être suivi, concurrencé, dépassé...Notre popularité, après une période heureuse, ne décolle plus beaucoup...toujours pas d'antenne carnaval des sourires dans d'autres villes malgré une visibilité croissante.

Nous sommes en résistance dans un territoire occupé par notre propre gouvernement. Il s'agit donc d'une résistance spéciale, dominée de surcroît par le virtuel des réseaux sociaux sur internet. Les années 2020-21 ont montré que le covidisme d’État avait pris la forme efficace d’une manipulation cyclique, évitant soigneusement de supprimer « à chaque tour de piste » ce qui fut et reste le socle de la tyrannie covidique : l’obligation publique du masque.

Définition informelle du « covidisme » vue au passé

Tendance extrémiste à caractère sectaire, apparue au niveau mondial, qui accordait une importance exacerbée à l'épidémie grippale du coronavirus de 2019/20 et s’en servait comme d’un prétexte pour justifier tous les excès en matière médico-sociale. Au niveau de l’État, le covidisme permettait d’imposer des mesures politiques, administratives et "sanitaires" extrêmes à la population – tapage médiatique, propagande de la peur, restrictions des libertés, couvre-feux, fermetures des lieux publics, confinements, imposition du masque, abandon des soins au profit du Covid-19, vaccination de masse, etc. Ses principaux buts étaient le contrôle des foules et les intérêts des industries pharmaceutiques. 

« Le » Covid-19 ou « la » Covid-19 ? L’erreur de l’académie française…

https://www.academie-francaise.fr/le-covid-19-ou-la-covid-19 :

Covid est l’acronyme de corona virus disease, et les sigles et acronymes ont le genre du nom qui constitue le noyau du syntagme dont ils sont une abréviation. On dit ainsi la S.N.C.F. (Société nationale des chemins de fer français) parce que le noyau de ce groupe, société, est un nom féminin, mais le C.I.O. (Comité international olympique), parce que le noyau, comité, est un nom masculin. Quand ce syntagme est composé de mots étrangers, le même principe s’applique. On distingue ainsi le FBI, Federal Bureau of Investigation, « Bureau fédéral d’enquête », de la CIA, Central Intelligence Agency, « Agence centrale de renseignement », puisque dans un cas on traduit le mot noyau par un nom masculin, bureau, et dans l’autre, par un nom féminin, agence. Corona virus disease – notons que l’on aurait pu préférer au nom anglais disease le nom latin morbus, de même sens et plus universel – signifie « maladie provoquée par le corona virus (“virus en forme de couronne”) ». On devrait donc dire la covid 19, puisque le noyau est un équivalent du nom français féminin maladie.

 Un peu d’humour révélateur sur ce débat futile : l’académie française n’a visiblement pas saisi que le mot anglais « disease » était également traduisible médicalement en « mal », « trouble » ou « désordre »…, tous masculins. Une confirmation que le covid-19 empêche de réfléchir, même chez les « plus lettrés » ?

Depuis plus d'un an de covidisme, la vérité a été remplacée par la patience et l’espoir

Nous avons été habitués par le pouvoir en place à mettre la patience devant la vérité, à voir celle-ci comme secondaire, voire nuisible. Plus nous souffrons et plus on nous demande de souffrir encore, de patienter dans la souffrance, sans autre raison que la vertu des faux espoirs...Or, vérité sans patience s'égare. Patience sans vérité s'épuise. Si vous voulez savoir la vérité, nous conseille un proverbe arabe, « demandez aux fous ! ».

Il se trouve que notre projet à nous est de devenir fous…et rendre fous, en cassant ces nouvelles « normes » de l’oppression. Devenir fous, parce que ce sont tous ces gens "normaux", soumis au delirium du pouvoir, qui sont en train de détruire une génération entière, nous avec. La démocratie est devenue le seul système politique au monde à faire croire à son peuple qu’il s'étouffe de ses propres mains, par sa propre volonté, représentée via une interface transparente de politiciens masqués au-delà de tout soupçon. Lorsque les conformistes posent problème, ce sont donc les fous qui ont la solution.

Vous, frères et sœurs du théâtre, l'un de vos acteurs célèbres disait que jouer une pièce était quelque chose de si inutile que l'acteur faisait de son mieux pour la jouer à la perfection. Eh bien non, votre métier est plus utile que jamais. Vous nous avez appris que chacun d’entre nous joue un personnage (étymologie "persona"...le masque) et que son meilleur rôle est de se jouer lui-même, sous peine de gâcher la pièce. Mais aussi que la fiction peut dépasser la réalité. Le covidisme a son théâtre sans héros, nous avons les héros sans théâtre. C'est vous et c'est nous. Nous partageons votre cause car il nous faut aujourd'hui plus que jamais un cinéma pour nos acteurs, un théâtre pour nos héros. 

Nous nous sommes alors imposé un défi créatif chaque semaine, notre projet : devenir « fous » et rendre « fous » pour rendre libre

La création collective que nous portons existe depuis seulement début février 2021. Après quelques mois d'existence, notre recherche de folie a "tout perdu...sauf la raison" - et le cœur. Nous avons donné au peuple les clés stratégiques pour sa victoire, mais nous avons aussi donné aux gouvernements les clés de la manipulation la plus parfaite. Il s'agit maintenant d'une course contre la montre pour qui arrivera à détruire ou à sauver le masque. Le gouvernement sent que ce dernier est en danger : il va également tout faire pour se trouver un "autre point faible", moins vulnérable. Il suffira de quelques semaines peut-être pour que tout se joue.

Vous pouvez aussi voir la double pyramide [fichier joint, à distribuer au public] comme un sablier qui compte le peu de temps qui nous reste. Il faut se dépêcher, le compteur des morts du covidisme continue à tourner : j'ai quotidiennement le goût du sang dans la bouche. Ce n'est plus le covid qui tue, mais l'épidémie sectaire du covidisme. Cette épidémie est plus dangereuse que toutes les autres : elle est plus contagieuse, plus mortelle, elle a ses variants, elle attaque tous les organes, en particulier le cerveau, les yeux et le cœur des gens...Nos propres calculs ont confirmé dès février 2021 le génocide et les crimes contre l'humanité perpétrés par la répression covidiste :

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/02/premiere-evaluation-du-taux-de-criminalite-du-covidisme.html

Dorénavant, surtout depuis octobre 2020 (décret d’obligation du port du masque dans les lieux publics), on ne porte plus le masque parce qu'il y a le covid, on porte le covidisme parce qu'il y a le masque. Si celui tombe, c'est le covidisme tout entier qui s'effondre. Une ironie miraculeuse a donc fait que notre arme de destruction massive de la manipulation d’État se trouve littéralement…juste devant notre nez.

Ce que nous menons est un combat plus général de l'esthétique contre la laideur du matérialisme, du bien contre le mal, de la qualité rare contre la quantité médiocre. Derrière les "frivolités" du Carnaval des sourires, peu se doutent que se cache une véritable "machine de guerre" du sourire, en réponse à la déclaration de guerre contre le "virus du peuple" lancée par le gouvernement français en 2020. Nous avons élaboré une stratégie qui parle moins à la "raison" des gens qu'à leur naturel : vacciner par le libre sourire vaut toutes les démonstrations théoriques du monde. Le Carnaval des sourires est aussi un nouveau variant « viral » stratégique de la Résistance, de la Joie et de la Liberté.

Résistance passive et résistance active

Nous distinguons entre résistance passive (défense qui s'entraîne à encaisser les coups) et résistance active (qui contre-attaque pour renverser le cours de la guerre), résistance interne (travail sur soi-même) et résistance externe (travail sur l’extérieur). Toutes ces formes sont liées mais la résistance contre l’oppression covidiste s’est jusque-là entièrement oubliée dans les excès narcotiques d’une lutte passive-interne qui demande toujours plus de « patience » à un peuple exténué (rejoignant ainsi les vices du gouvernement) : le Carnaval des sourires, avec en particulier ses opérations « printemps des sourires » et bientôt « été des sourires », a pour vocation de rééquilibrer les choses vers une résistance active, offensive, canons tournés vers le cœur du système de l’agresseur.

Les gouvernants mettront définitivement fin au masque quand ils auront un nouveau moyen de contrôle plus fiable

Pour l'instant, ce n'est pas gagné pour eux. Mais si les États sont finalement capables de mettre fin au masque par eux-mêmes, sans réactions du « troupeau » humain, c'est qu'ils auront trouvé le meilleur moyen de contrôle : le peuple par lui-même. Peuple auquel il sera possible de remettre le masque ou tout outil de tyrannie quand ils le voudront. Il y aura toujours une bonne raison de le faire : encore récemment, on me parlait sans broncher de « reconfinement » prévu pour cet automne. Grâce aux saisons, le covidisme peut devenir une roue infernale à mouvement perpétuel si on le laisse faire. Il a donné une forme cyclique à sa manipulation de masse.

Du coup, je ne crois pas que notre combat va s'arrêter aussi vite, il continuera sûrement sous d'autres formes. Et l'un des intérêts de notre action est qu'elle aura constitué au moins une "promotion d'élite de l'anticovidisme", bien entraînée, qui se retrouvera peut-être sur d'autres fronts, d'autres combats dans le monde. Tant qu'il y aura un totalitarisme, il y aura un carnaval des sourires car il y aura des gens comme nous derrière.

On parle d'un certain "retour à la normale" dans quelques contrées, mais le masque est toujours là derrière, puisque c'est l'État qui a fini par l'enlever aux gens et non par eux-mêmes. Un peuple parfaitement contrôlable peut être laissé "tranquille"...jusqu'à la fin du répit. Et il sera toujours possible de revenir au masque, comme un ressort ou un jeu de yoyo, car les vaccins ont multiplié les variants et les risques d'épidémie. Le masque est devenu central dans la logique de manipulation gouvernementale, c'est leur plus grand succès manipulatoire : toute l'année 2020 a mené à lui et ils ne lâcheront pas aussi vite un outil aussi "puissant" – mais en réalité aussi vulnérable pour tout leur édifice….

Dire non au vaccin, c'est comme un boxeur se défendant sur les cordes du ring, avec une bonne garde, mais se prenant tous les coups de Formane.

Dire non au masque, c'est au contraire le boxeur qui contre-attaque avec la puissance de Cassius Clay dans ce fameux match historique de 1974 à Kinshasa. Par une brillante stratégie qui fera école, Ali a inversé au huitième round sa défense passive en offensive éclair surpuissante. Or, notre résistance collective manque totalement d'une telle subtilité. Elle reste confinée dans une "tactique" purement passive d'encaissement des coups du covidisme jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Notre action est-elle « dangereuse » pour nous ?

Sache que la république n'est pas dangereuse...tant qu'elle ne te prend pas au sérieux. Dans le cas contraire, elle ne vaut pas mieux que tout autre système tyrannique. Nous autres, carnavaliers des sourires, voulons surtout éviter que les dirigeants nous prennent au sérieux trop vite, avant que notre action devienne virale. C'est notre victoire collective contre la machine covidique qui nous importe avant nos propres personnes.

Nous devons être assez nombreux pour minimiser les risques encourus par chacun et pour que d'autres reprennent le flambeau si nous sommes empêchés. Et nous serons hors des griffes du gouvernement tant qu'il aura besoin de nous pour parfaire sa manipulation. Saisissez-vous de nos idées avant lui ! 

Certains se demandent sûrement « mais à qui s'adresse-t-il vraiment ce discours ? »

"À moi ou aux autres ? Quelle masse serait-elle prête à l'écouter ? Comment pourrais-je rendre viral leur appel, moi qui suis presque inconnu ?" C'est très simple, je ne m'adresse pas à une masse aveugle qui ne raisonne pas aussi facilement et aussi bien qu'un individu, je m'adresse à TOI et toi seul, oui toi. Ne t'occupe pas des millions d'autres pour diffuser ce message. Focalise-toi uniquement sur toi-même. Plus tu seras convaincu, plus tu convaincras les premières personnes de ton entourage et d’autres encore. Ne cherche pas à convaincre frontalement, mais à montrer combien tu es convaincu, à faire briller ta conviction autour de toi.

Si chacun arrivait ainsi à toucher suffisamment et seulement deux personnes, alors sa diffusion deviendrait exponentiellement virale. Mathématiquement, de 2 on passerait à 4, puis à 8, 16, 32, etc. jusqu'à des millions. Et si vous me demandez pourquoi malgré tout nous ne sommes pas encore assez connus, je vous répondrais simplement…qu’il n'y a pas encore assez de gens qui se posent cette question comme vous.

Les "alerteurs mainstreams" : un juste milieu entre ceux qui ne veulent rien faire et ceux qui voudraient faire quelque chose

Alors que les gouvernants nous ont fait remplacer la vérité par la « patience » - devenant de véritables « trafiquants d'opium de l’espoir » - on peut dire de nos frères alerteurs influents, pour la plupart, qu’ils nous ont fait remplacer l'action par la « vérité », puis…la « vérité » par une information de masse, totalitaire, narcotique, indigeste et inutile. Nous ne remettons pas en cause l’effet salutaire qu’ils ont pu avoir dans un premier temps pour « réveiller » beaucoup de consciences, mais le fait qu’ils gardent désormais les gens « éveillés dans leurs lits » à lire leurs bulletins d’information, au lieu de les pousser vers une action aussi simple et puissante que se lever, sortir et jeter le masque. À force de rester dans son lit, on finit par se rendormir, et pire, à rêver d’action en se croyant utile à la résistance.   

Le problème avec cette guerre est sa nature essentiellement « psycho-électronique ». Les guerres classiques se déroulaient matériellement sur les terrains de bataille : les preuves se faisant par les armes, on distinguait alors plus vite, bien que l’information circulât plus lentement, les vrais guerriers des imposteurs, les soldats utiles des paresseux et des profiteurs. Ici, la lutte anticovidiste a trouvé son principal champ de bataille sur internet et ses réseaux virtuels : les rôles sont beaucoup plus flous, la valeur se mesure à la notoriété (alors que c’est la notoriété qui se mesurait à la valeur) et la capacité à noyer la résistance dans l’information. Les pistes de la victoire se sont brouillées.

Nous autres, carnavaliers, sommes un milieu entre l'action réfléchie et la réflexion agissante. Nous n’appartenons pas au même monde que ces alerteurs toxiques mainstream. En conséquence, même s'ils nous ressemblent, les autres collectifs n'ont en règle générale strictement rien compris à l'importance stratégique fondamentale de concentrer toute leur énergie sur le rejet du masque. La responsabilité en revient en grande partie à leurs fondateurs/alerteurs mainstream, devenus des « contrebandiers d'opium du peuple », vendant, revendant, inondant le marché de la résistance d'informations et bêtises en tous genres, sans la moindre utilité pratique et de plus en plus nuisibles à la vérité, à la santé et à l’action, ainsi que le feraient les plus vils médias mainstream. C’est au monde en miroir de ces derniers qu’ils appartiennent.

Et ce n’est pas faute d’avoir cherché à contacter et prévenir ces "alerteurs" du danger. L’un d’entre eux, victime de son propre délire narcotique, nous a même prédit que nous n'avions « aucune chance d'aboutir » (boule de cristal ?) - tout en nous souhaitant...bonne chance à la fin. À cause d’eux, les résistants ont été majoritairement transformés en drogués, en assistés, en toxicomanes, en "shootés" du narcotique virtuel...sniffant quotidiennement la moindre info pour « s'envoyer en l'air », trouvant celle-ci plus « bonne » qu’une autre, inhalant les plaisirs vaporeux de la bonne conscience jusqu'au…flash : l'illusion de se voir agir…alors qu'ils sont restés sur leur siège, se cognant la tête sur leur écran de smartphone ou d’ordinateur, comme une mouche folle sur sa fenêtre.

Trop d'information tue l'action, comme l'opium ou autre drogue. Le carnaval des sourires est en cela la meilleure cure de désintoxication. Nous comptons sur vous pour vous sauver de l’enfumage de ces « alerteurs » toxiques, « idiots utiles » et agents malgré eux du système d’oppression covidique. Nous comptons sur vous, ô masques-à-terre du droit, pour offrir à la France un bain de sans...masques et allumer le pays d’un feu de sourires.

Diagnostic, pronostic, thérapie, vaccin, antidote par le pouvoir magique du sourire et de la joie naturelle sur le visage

Le covidisme a remplacé le covid. Le covidisme s'effondre à son tour, il s'essouffle. Métaphore de l'Hydre du marais de l'Herne, serpent gigantesque mythologie grecque, à plusieurs têtes, haleine empoisonnée, qui a vu sa destruction lors des 12 travaux d'Hercule. Lui couper une tête en faisait repousser deux. Hercule et son neveu brûlent alors chaque blessure pour empêcher quelques têtes de repousser (résistance défensive) et coupent la tête du milieu, réputée intelligente et immortelle (résistance offensive).

La plupart des résistants à la tyrannie covidique ne comprennent pas encore ce rôle du masque comme tête centrale de l’hydre, socle de la manipulation, « point zéro » du curseur de contrôle du gouvernement sur les masses. Des alerteurs commencent à reprendre certaines de nos idées, mais sans les comprendre et sans citer leur source : c'est un peu comme si vous donniez une "mitraillette à un singe". Il peut être dangereux de manier des idées sans respecter le mode d'emploi, ni dévoiler les bonnes références. 

Petit florilège de nos promenades sourires

- Sortie inaugurale du 21 mars 2021 : début du printemps des sourires conjointement avec Chrystel du collectif « réagissons ensemble ». Temps froid, nuageux, gris. Éclaircies de nos sourires sur la ville de Dijon. Déambulation démasquée jusqu’à la mairie. Cafés dans un stand. Passants curieux. Discussions. Promenade un peu éprouvante par le temps mais moralement agréable et réussie.

- Pique-nique du 05 avril : occasion de se réunir entre collectifs. Sortie à cinq en ville sans masque. Passages devant la police.

- Le 24 avril a été pour nous une date importante, où nous avons pu aider à fédérer des collectifs de résistance comme Réagissons_ensemble, Uniragir, Réaction 19...

- Sortie sourire du 1er mai : il y avait beau monde à avoir répondu à l'appel, plus que toutes les autres fois. La police, malgré plusieurs passages en voiture, ne nous a absolument pas embêtés - nous n'avons remis le masque à aucun moment. Nos résistants étaient de très bonne humeur et l'accueil des passants exceptionnel. Le vaccin du sourire opère comme un élixir du bonheur, une formule magique. Des gens à tendance "covidiste" se sont arrêtés en extase pour nous filmer et nous ont félicité même s'ils croient à l'efficacité du masque mais uniquement pour les personnes malades.

Les justifications étaient rares et surtout basées sur le conformisme, l'obligation ou des slogans répétés par cœur entendus dans les médias. Certains ont évoqué la connaissance de cas de personnes proches malades. Aucune justification de l'existence d'une épidémie ou de sa dangerosité. Plusieurs ont avoué à notre demande que si le masque n'était plus obligatoire ils l'enlèveraient. La majorité des gens semblait très heureuse de nous voir et nous a adressé de très nombreux signes de félicitations et d'encouragement...des gens nous klaxonnaient en voiture etc. La plupart ont enlevé ou baissé le masque à notre demande pour nous sourire.

Peu ont résisté à nos : "épidémie du sourire, vaccins du sourire, c'est gratuit, on écoule les stocks, justifiez votre masque, guerre du sourire, on vous bom-bar-de, on vous mitraille avec le sourire !" Partant du jardin et de la place Darcy, nous avons "ouvert" spontanément une sorte de long chemin de pèlerinage nous menant au parc de la Colombière, jusqu'à une sorte de pyramide noire en fer, type "illuminati" (en tout cas pour nos amis complotistes), apparue bien mystérieusement un beau jour. Cet "objet d'art" n'avait pour tout descriptif que ce nom : "personal cage", comme une allusion au masque qui nous opprime.

À nous qui expliquons partout que le covidisme entier n'est qu'une pyramide instable posée sur le masque, cette pyramide bien à l'endroit semblait vouloir nous suggérer tout le contraire, comme un message de désespoir, un baroud d'honneur. Pourtant c'est sur elle que nous avons planté notre banderole victorieuse du sourire, sans plus de pitié qu'un méchant toréador plantant ses dernières banderilles sur un taureau essoufflé. Ce chemin de Damas a été pour nous comme une illumination célébrant le chemin de croix du covidisme, venant vers nous en sens inverse.

Il est vrai que les gens en "redemandaient", on aurait dit une soif brillante dans leurs yeux, inextinguible sinon par une gorgée vitale de sourire. Voilà une journée qui confirmait notre approche d'un naturel revenant au galop quand on s'approchait de lui au trot...Un Monsieur démasqué à vélo s'était même arrêté exprès pour nous inviter à mettre à profit toute la contradiction entre le slogan laïcard que "la République se vit à visage découvert" et le fait de masquer tout le pays. Ce samedi 1er mai, on se serait cru au "pays de la Résistance" : les "covidistes" semblaient soudain être devenus minoritaires, en mode discret de rasage des murs.

J'ai également fait la connaissance de l'extraordinaire Marianne (oui quel beau symbole...), médium épatante, n'appartenant à aucun collectif précis mais qui s'était sentie guidée vers nous, ressentant des ondes très pures en notre présence et avait même rêvé de...moi et qu'elle allait me rencontrer...C'est comme la France qui venait symboliquement à notre rencontre sous des traits humains pour nous exprimer sa confiance en notre capacité à la sauver en boutant le masque hors de ses frontières. Nous avons fini par distribuer nos ballons à des enfants joyeux, et sympathisé avec leurs parents, à qui nous avons distribué nos cartes de visite, ainsi qu'à de nombreux passants charmés et charmants.

Attaquer le vaccin c'est se défendre contre les fruits empoisonnés du covidisme, attaquer le masque c'est détruire le covidisme à la racine. Comment reconnaître fruit et racine ? Si on coupe le fruit, la racine n'est pas menacée, si on coupe la racine le fruit finit par mourir. Des "algorithmes" complexes nous ont ainsi mené à converger vers la même racine suprême du covidisme d’État et international de 2021 : le masque.

- vendredi 07 mai : la promenade s'est déroulée dans les hôpitaux et facultés avec notre fidèle banderole "souriez" et ses ballons, résultat : un bain de sourires, des klaxons joyeux de voitures et même de conducteurs de bus, parfois effrénés, pour nous saluer, des félicitations verbales, des pouces enthousiasmés, des discussions respectueuses...les gens adhèrent de plsu en plus à notre message, même les covidistes en apparence. Il régnait comme un festival des sourires ce vendredi à Dijon. Rien à voir avec le climat frais de notre première sortie. 

Dans le parking du CHU, beaucoup de personnes nous rendent un sourire amusé, même si on ne les invite pas à enlever le masque (conditions sanitaires spéciales, ce que n'a pas manqué de nous rappeler une gentille responsable communication), plusieurs le retirent jovialement à notre passage comme on tire son chapeau, parmi les malades mais également le personnel soignant et les ambulanciers. On leur déclame que nous avons le meilleur vaccin du monde, sans effets secondaires que le bonheur et la santé :)

Chez les étudiants, il se trouvait beaucoup moins de monde (proche départ en vacances). Nous avons tout de même réussi à discuter et expliquer la double pyramide à un certain nombre de petits groupes en train de déjeuner ou non. Leur accueil a été très favorable. L'un de ces groupes nous a littéralement acclamés, notre venue tombant le jour d'anniversaire de l'un de leurs camarades. 

On salue des classes d'enfants dehors et dans leurs cours d'écoles : ils sont très joyeux de nous voir et enlèvent le masque sous le menton pour nous saluer. Même le professeur nous fait coucou. Certains enfants arrêtent leurs activités sportives pour nous suivre du regard. La plupart des gens abordés ont courageusement accepté de baisser le masque, au moins le temps d'un sourire partagé. 

Des policiers à vélo passent devant nous sans rien dire. On les retrouvera au tournant, nous remettons le masque et une discussion calme et courtoise s'instaure sur la validité de celui-ci. Ils entendent nos arguments - vieux de plusieurs mois (voir notre manifeste du réalisme sur le blog du carnaval des sourires) - sur les 11 dangers sanitaires contre 5 "avantages psychologiques", d'après le rapport de l'OMS de juin 2020.

Ils nous font remarquer que l'Élysée n'est pas seul à prendre ses décisions mais qu'il y a aussi ce "conseil scientifique" et nous demandent si nous sommes aussi scientifiques. Nous leur expliquons que c'est le cas et que nous avons détecté de graves anomalies dans les chiffres de mortalité, etc. Que si nous remontons le masque c'est pour leur faciliter le travail et non pour respecter le gouvernement, que nous ne sommes pas ennemis de la police. Ils semblent apprécier et rajoutent qu'ils "ne sont contre personne".

Ils nous saluent et nous souhaitent bon courage en nous rappelant que jusqu'à preuve du contraire il faut encore « porter le masque car...il est obligatoire » ;) Voilà encore confirmée notre vision depuis des mois d'une résistance à différents degrés chez les fonctionnaires chargés d'appliquer des décrets covidiques.

Discussion avec les personnes âgées : elles nous sourient très facilement sans masque. Certaines nous disent leur souffrance morale ("on perd des années de vie") et/ou physiques (montrant leurs hématomes dus aux allergies causées par le masque, etc.). D'autres nous disent que « ça va passer » et que les anciens ont même connu "pire avec la guerre". Ce à quoi nous avons gentiment répondu que ce n'est « pas forcément en regardant toujours du côté du pire que l'on va faire mieux ». Et qu'il y a des milliers d'anciens déjà tués par les mesures répressives covidistes et qui ne sont plus là pour le raconter. 

Même les « partisans » du discours officiel ont fini par nous exprimer leurs doutes, voire leur incrédulité à ce sujet. À l'argument "avez-vous eu des morts supposés covid dans la famille pour savoir ?", nous leur avons appris que c'était le cas mais qu'ils avaient été prouvés catalogués à tort ainsi. Nous en revenons au constat que ceux qui croient à la bonne parole gouvernementale ne savent pas vraiment pourquoi ils y croient (arguments superficiels du genre « j’ai vu ça à la télé »…), alors que ceux qui n’y croient pas savent très précisément pourquoi et sont capables de défendre scientifiquement leur point de vue, faits et chiffres à l’appui.

Une jeune caissière de magasin est sortie spontanément à notre rencontre en nous montrant avec fierté son tee-shirt "je porte ma muselière", nous assurant chaleureusement de son soutien à la cause et nous avouant son soulagement car elle se croyait « seule à lutter contre le masque ». 

Un très beau contact s'est fait avec une animatrice radio nationale absolument enchantée, qui est venue spontanément à nous, nous a applaudi, a insisté pour nous donner un euro symbolique et a souhaité nous interviewer, proposition que nous avons acceptée. 

Nous avons également en fin de course, comme avec la pyramide énigmatique du parc Darcy, planté notre drapeau du sourire sur la statue de la victoire, cette effigie de femme levant une couronne de lauriers au-dessus du vainqueur...

Au bout du compte, très peu de personnes ont refusé d'enlever le masque pour nous rendre leur plus beau sourire et la quasi-totalité d'entre elles nous souriaient derrière. La plupart des gens finissent par s'oublier avec le masque : leur demander de sourire s'est avéré alors un excellent moyen convivial de leur faire prendre conscience de cet étouffoir qui entrave leur naturel, en matière de communication, beauté et respiration, et de créer en eux une contradiction, un dilemme cognitif sur ce qu'ils doivent éliminer : c'est soit le masque, soit mon sourire…Les quelques passants « souriants » derrière leur masque nous ont très gentiment exprimé cette gêne empreinte d’excuses et de frustration : "mais...on ne peut pas hélas...il y a le masque". 

Observation très intéressante : à presque aucun moment, les gens ne nous ont fait remarquer ou reproché que l'on ne portait pas le masque (même la responsable communication de l’hôpital ne nous a fait la remarque qu’à la fin de la conversation). Le seul fait de renverser la charge de la preuve remet les choses naturellement à leur place.

Au lieu de justifier notre non-port du masque (technique essoufflée des principaux alerteurs…) nous avons plutôt demandé aux gens de justifier le leur : quelle diable de raison pouvait-elle les empêcher de respirer correctement depuis printemps 2020 ? Et personne n'a semblé y faire attention tant il était pris dans ses échanges de beaux sourires avec les carnavaliers - ou ses rares et éphémères tentatives de justifier l'impossible. Ce jour-là, le naturel était dans notre camp. La raison aussi.

- Sortie du 08 mai 2021 : magasins du sourire

Visite au théâtre pour atelier parodie militante et proposition de « discours du général » (notre projet de nouvel appel à la résistance en tenue d’officier). Quatre puis six carnavaliers (Chrystel, Éliane, Nathalie,...Amine, Mathieu). Temps d'attente, imprévision, chorale non préparée en notre absence bien que prévue, contretemps involontaire de la personne qui devait nous relayer mais qui apparaît en dernière minute et se charge personnellement de notre requête - nous étions prêts à abandonner. Rencontre avec Noël, ancien gendarme pétillant et plein de ressources, que m’a présenté Marianne. Des membres de l’équipe sont réticents à tenter cette opération à espace fermé et rentrent chez eux. Nous décidons de continuer.

C’est l’extension de notre guérilla du sourire aux grandes surfaces commerciales (préférables aux petites dans un 1er temps), carrefour toison d'or ouvert en ce jour férié de la...Victoire. Nous avons préparé et joué des scénettes de théâtre conviviales entre nous pour travailler le naturel des gens, leur rappeler leur passé joyeux...retrouvailles chaleureuses, embrassades, serrement de main sans masques, etc.

Règles de prudence accrue : espace confiné, imprévisibilité des réactions : garder le masque, ne pas expliquer le droit (devenu pour l’instant du « papier à cheminée »…) aux vigiles. Il s’agissait de reproduire ce qui marche déjà avec la police.

L’opération était superbe : clients amusés, intéressés, aucune remarque négative, aucun regard inquisiteur, aucune intervention de vigiles et personnels qui pourtant allaient et venaient. 

Un enthousiasme particulier a été porté à notre action par un jeune couple charismatique à la fin : intérêt fort partisan, interview, discussion passionnée...il nous apprend que son épouse enceinte est forcée à porter le masque à l'accouchement ! Révoltés mais de bonne humeur et pressés de nous soutenir et nous faire connaître. Cette rencontre providentielle nous a montré symboliquement la problématique des dangers du masque sur à la fois les parents et les enfants : quel monde prépare-t-on pour ce magnifique bébé qui va naître ? 

Lorsque nous lui montrons le schéma de la double pyramide, le jeune homme s’exclame étonné : "ah ouais…ça va être chaud !", en pensant probablement aux difficultés de faire évoluer les esprits covidisés : on lui répond que le plus grand risque…c'est de ne rien faire, ce à quoi il acquiesce totalement ! Ils nous soutiennent à fond.

Enfin, sortie normale et sans trop tarder en laissant nos amis finir leurs courses. Opération commando du sourire réussie.

Commentaires youtube, co-créons, facebook, etc. enchantés sous notre vidéo : « génial », « magnifique ! », « bravo !!! », « enfin des gens qui font quelque chose !», « si les gens vous suivaient sur toute la France la dictature covidiste tomberait en quelques jours », « on dirait que les gens vous attendaient ! », «  vous êtes des génies de la communication verbale et non-verbale ! », etc.

Cette sortie « magasins du sourire » nous a permis de briser la glace même au sein de notre équipe sur les appréhensions qu’elle soulevait. Nouvelles motivations prêtes à recommencer l’opération. Venez plus nombreux la prochaine fois !

Le 17 avril 2021, nous avons proposé une terrasse : promenade en joyeux lurons, terrasse entourée gendarmes, distribution affiches...puis un tour des commerçants pour les interviewer (en lorgnant sur la prochaine étape de rentrer démasqués dans les magasins, sans viser la sécurité, mais la clientèle). Quoi ? Rester en terrasse avec des gens qui mangent pendant le mois de Ramadhân alors que je jeûne ? Oui, exceptionnellement, par solidarité avec la résistance contre une oppression qui a fait énormément de victimes. C’est un cas de vie ou de mort. Un musulman défendrait même le droit des gens à vendre de l'alcool si leur vie était en danger du fait de la destruction de leurs moyens économiques. J'ai religieusement appris depuis petit que protéger la vie était encore plus sacré que refuser l'illicite.

De plus en plus de commerçants en ont marre, on l’a vu lors de nos visites auprès des boutiques dijonnaises, ainsi que le contraste entre le faible argumentaire des gérants « covidisés » et la lucidité des « non-covidisés ». 

- Sortie du samedi 10 avril 2021 : je voudrais vraiment féliciter chaleureusement tous nos valeureux participants et participantes pour cette magnifique journée. Certes il y avait matière à progresser, mais cette excursion était aussi faite pour ça. Franchement j'ai été époustouflé par votre savoir-faire et votre facilité de contact avec les gens en ville. Leur accueil pour nous a été globalement excellent, aussi bienveillant qu'intéressé, surtout ceux qui portaient le masque, à notre heureuse "surprise" ! Les "grincheux" n'étaient qu'une infime minorité qui se dépêchait vite de disparaître derrière le masque en tournant la rue. J'avais vraiment l'impression avec vous d'être avec des prêcheurs ou missionnaires professionnels du sourire. 

Je ne pourrais même pas citer toutes les anecdotes dont vous avez su tirer le meilleur parti humain pour notre cause : "montre-nous ton joli visage" (à une jeune fille qui nous abordait), "votre sourire s'il vous plaît", "n'oubliez pas que l'air est à nous comme l'eau" (à des représentants masqués d'un nouveau service de distribution d'eau), "vous prendrez un brownie ?" (pour inviter un passant à retirer un instant son masque), etc. etc. Relatez-nous à votre tour vos anecdotes personnelles. La fin de sortie devant le théâtre était l'apothéose collective de cette journée.

Les gens montraient à la fois de l'amusement et de l'espoir. Car c'est ce que vous leur avez insufflés en guise de vaccin. Tout seul n'aurais-je pas fait l'effet de Dracula ou de Terminator invitant les gens à lui sourire ? À ceux des non-covidistes qui croient encore pouvoir sortir de la crise en s'empoisonnant par un pseudo-vaccin, nous proposons un remède plus simple, plus sain et plus radical pour détruire l'épidémie du covidisme d'État : enlever ensemble le masque de la mort et sourire à la vie. Un montage vidéo de cette sortie :

https://youtu.be/7CpzjvISevM

De nouvelles idées sont en cours de développement. On souhaite vous voir plus nombreux avec nous pour la prochaine mission joyeuse de notre révolution des sourires !

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/04/ton-temoignage-de-sniper-du-masque.html

Nota bene : la promenade récente du sourire à Nîmes montre surtout la responsabilité des alerteurs influents dans le maintien "opiumnique" du covidisme : c'est lorsqu'ils s'alignent un peu plus sur les "petits" comme nous, bourrés d'idées novatrices mais méconnus, qu'ils commencent à réfléchir et être utiles à la résistance. Mais ils sont encore très "en retard" car ils hésitent encore à proposer une vraie "guérilla" ciblée antimasque : combien de manifestants mesurent réellement la portée stratégique du masque ? Ils seraient plus nombreux sinon et surtout chercheraient à intégrer le démasquement dans leur vie de tous les jours. Manifester est un bon signe d'éveil mais pas de lucidité. Nîmes paraît en "avance" tactique mais pourrait bien être hélas encore loin derrière Dijon - elle-même en retard par rapport au démasquement actif de sa population.

Rajout du 18 juin 2021 : il y a eu depuis mai d’autres sorties du sourire couronnées de succès. En particulier, dans les transports publics, à la gare (avec un vigile très sympathique), dans la rue avec une sortie « surf sur la 4ème vague », déguisés en surfeurs du pacifique et en légionnaire romain contrôlant les sourires des passants (même la police a sympathisé avec nous…), etc. Pour plus de détails sur nos sorties, voir :

https://youtube.com/channel/UCDeQMPbR0vrmfoea1J5rC5g

La dialectique de la guerre : entre tactique et stratégie

La stratégie est l'élargissement progressif de la tactique qui commence par utiliser des moyens réduits pour des objectifs limités dans des espaces étroits. La tactique relève de la bataille, la stratégie de la guerre. Clausewitz : "la tactique est la théorie relative à l'usage des forces armées dans l'engagement, la stratégie est la théorie relative à l'usage des engagements au service de la guerre". Système de poupées russes. Stratégie = englobant, tactique = englobé, moyen pour une fin, englobant ultime = finalité politique. Pyramide des stratégies, logique hiérarchique du tactique au stratégique.

Alors que la tactique est modelée par la contingence, la stratégie est plus préoccupée par les événements majeurs, en recherche de stabilité au milieu de l'évolution permanente des événements, la tempête du présent (Hegel). C'est l'opposition entre "buts DANS la guerre" et "buts DE la guerre". La subordination de la stratégie à la tactique conduit à des folies collectives comme la 1ère guerre mondiale ou...le covidisme actuel, où toute vision à long terme a été assujettie - ou même anéantie - au profit des détails techniques de l'instant présent ou du très court terme. La stratégie c'est le choix des tactiques (A. Beaufre), ou encore "rendre tactiquement possible ce qui est stratégiquement désirable". 

Machiavel, même s'il a été caricaturé, reste selon moi à prendre avec des pincettes, vu l'amoralité de ses procédés (en gros : "la fin justifie les moyens", même s'il n'a jamais dit cette phrase). J'ai surtout apprécié sa théorie de l'équilibre entre la virtu (force de décision) et la fortuna (capacité à saisir la chance ou le moment opportun) d'un homme d'État. Mais à part conseiller les gouvernants il n'a pas vraiment goûté aux champs de bataille.

Sun Tzu semble l'avoir fait (en général d'armée...s'il a bien existé) et ses stratégies se rapprochent de la nôtre : gagner sans forcément combattre l'adversaire, en s'adaptant à lui, minimiser les coûts humains, etc. "Le meilleur savoir-faire n'est pas de gagner cent victoires dans cent batailles mais plutôt de vaincre l'adversaire sans combattre", "qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre", etc. Même s'il a aussi recours à la tromperie.

L'auteur que j'apprécie le plus est Clausewitz (j'ai eu une formation poussée en philosophie de la stratégie militaire, en particulier clausewitzienne), plus proche de nous (XIXe) qui a été officier et a passé sa vie à analyser les guerres bonapartistes.

"En vérité Dieu ne modifie point l'état d'un peuple tant que ceux qui le composent ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes" (Sûrate XIII Al Raad, le Tonnerre, V. 11).

Si le pouvoir nous enlève le masque lui-même, selon ce qu'attendent beaucoup, nous resterons un peuple de manipulés. La résistance doit absolument s'organiser à grande échelle. Nous avons déjà commencé à le faire sans attendre les traînards. Comme tout groupe social humain, la résistance n'est pas immunisée contre les conflits entre résistants : c'est quand on oublie son objectif que les querelles d'égos apparaissent, comme dans le vieil adage : "le sage montre les étoiles, le singe fixe le doigt".

Recette de l'efficacité : ne pas remettre à tout à l'heure ce que l'on peut faire tout de suite. Distribution des rôles : vidéo/audio, secrétariat, trésorerie, organisation et bon déroulement des événements, idées et réalisation des idées, image/contacts avec l'extérieur, matériel, etc., nommer des officiers en charge de chaque rôle.

Ne me demandez pas quel avenir faut-il pour notre peuple, mais quel peuple nous faut-il pour l'avenir

Ni quels grands projets pour le peuple, mais quel peuple sera digne d'un grand projet. Je ne m'intéresse pas à l'avenir qu'il faudra donner à ce peuple mais au peuple qu'il faudra donner à l'avenir.

Alors quel peuple pour demain ? Je ne donne pas cher de l'avenir d'un peuple manipulable à merci, incapable d'enlever son masque par lui-même, aussi beaux que soient ses objectifs. Sa transformation alchimique doit d'abord se faire par l’intérieur. La pire des choses qui puisse arriver en matière de manipulation est que la « démanipulation » se fasse par le manipulateur et non par la victime : si c’est le gouvernement qui décide de vous arracher le masque, alors il sera en mesure de vous le remettre quand il voudra, sous une forme ou une autre.

N’espérez plus alors que sa manipulation prenne fin. Enlevez-le masque par vous-mêmes et le plus tôt possible. C’est votre seule chance actuellement de vous libérer.

Prendre soin et rester attentif à l’importance cruciale de chacun d'entre nous

D'après une philosophe française (S. Weil), ce qu'il y avait peut-être de plus beau dans l'épisode du Christ et des larrons sur la croix, c'est que le larron repenti a reconnu..."Dieu dans son voisin". À nous de considérer chacun de nos résistants comme une révélation, un sauveur potentiel, dont dépendra peut-être toute la victoire. Même nos défauts seront importants pour cette cause. Nous n'attendons pas le sauveur, nous le préparons. Il a toujours existé des hommes providentiels, nous les hâtons. Il faut promouvoir et diffuser tous ceux qui ont le plus de chance de mener à eux.

Après la débandade de nos alerteurs mainstream, viscéralement inaptes à s'unir sur le plan national, nous avons décidé de lancer nos commandos du printemps des sourires à Dijon, sur un modèle de guérillas des sourires. Peu comprennent que derrière ce joyeux titre de carnaval des sourires se tient l'artillerie d'une stratégie militaire qui a fait ses preuves sur les champs de bataille de l'histoire. Notre but est de montrer une permanence dans l'action, que des unités de guérilleros sortent régulièrement sans jamais tomber malade d'une épidémie imaginaire. Le covidisme s'essouffle pendant que nous respirons à nouveau. 

Seul un peuple nouveau - que nous préparons - pourra faire sortir de lui-même un avenir nouveau. Et chacun d’entre nous est potentiellement le « sauveur » de ce peuple. Nous sommes ici la promotion de la résistance anticovidiste. Prenons soin de nous, les uns les autres : nous nous retrouverons dans d'autres combats, avec toute l'expérience rare que nous avons tirée de l'expérience « covid ». Aujourd'hui, il est intéressant de constater que la "mayonnaise du sourire" de Dijon commence à prendre après...sa montée nasale de moutarde.

Convaincre d'abord…ceux qui sont "d'accord" avec nous

Il y a parfois plus de distance entre les résistants eux-mêmes qu'entre les covidistes et les résistants. La plupart de nos "alerteurs" cherchent obstinément à convaincre ceux qui sont déjà d'accord avec eux qu'il faut s'informer, mais pas qu'il faut agir concrètement, et donc sans rien proposer comme stratégie de combat pour la victoire. Ils sont entièrement embourbés dans la mauvaise tactique, alors que la stratégie leur échappe complètement. Nous sommes des éclaireurs, pionniers, premiers et avons donc droit à l'erreur. 

S'en prendre aux vaccins, c'est se défendre contre la mort. S'en prendre au masque c'est ATTAQUER LE COVIDISME A LA RACINE. C'est bien de se défendre mais ça fatigue, ça ressemble à résister, mais la vraie résistance est un combat, sinon c'est la faiblesse. Résistance du premier niveau : se prendre des coups. Résistance supérieure : contre-attaquer. On nous a déclaré une guerre au sens strict, seule une riposte de guerre par le sourire sera à la hauteur. 

Derrière ce carnaval des sourires, peu se rendent compte que nous appliquons une logique de guerre du sourire précise, presque la seule et la plus puissance de toute la Résistance. Nous demandons surtout aux gens : qu'avez-vous à ne pas nous utiliser comme arme de guerre absolue, non-violente et sans combat physique ? Pour atteindre le seuil critique d’une réaction chimique populaire, il existe des conditions requises de concentration des constituants, pression et température, comme pour une réaction chimique classique. Pour déclencher un mouvement social, il faut concentrer suffisamment les réactifs humains pour atteindre une densité critique qui mettra le « feu aux poudres ».

Mythe du retour à la vie "normale" : déjà-vu après le 1er confinement de mars 2020

Le système covidique s’est révélé cyclique. En mai/juin 2021, c'est le même vœu pieux qu’au déconfinement de juin 2020, sous une autre forme : QR code, pass sanitaire, passeports sanitaires,...sont censés nous assurer réouverture des bars et restaurants, etc. : or il ne s'agit pour le gouvernement que d'une régression qui ne va pas remonter jusqu'au masque. Au moindre prétexte (chiffres variants, systèmes QR défaillants, etc.), il y aura encore contrôles, (re)fermetures, etc. mesures qu'acceptera encore un peuple totalement docile et endoctriné.

Il s'agit encore et toujours d'une opération de négociation autour du masque et de son contrôle. Tant qu'il y aura masques, il y aura « épidémie », en réalité un conformisme social à la politique « épidémiste » gouvernementale. Tant qu'il n'aura pas de meilleur instrument de contrôle, le gouvernement gardera le masque (quitte à assouplir son obligation). Les efforts du peuple pour déséquilibrer la pyramide inversée du masque devraient aussi se pratiquer « pyramidalement » : maximum d'efforts vers la base (masque…), minimum d'efforts vers le sommet (vaccins, pass sanitaires, etc.).

"Et demain ?" Après la victoire sur le covidisme ?

Eh bien, vaincre le covidisme c'est déjà avoir opéré une profonde transformation des peuples par eux-mêmes, au point que plus personne, pendant des siècles peut-être, ne pourra les remanipuler comme avant. Qu'ils détruisent le covidisme par le masque avant que leur oppresseur ne le fasse lui-même pour garder toutes ses cartes.

La situation arrange certains gros restaurateurs.

Achetés, vendus. Subventionnés à ne rien faire. C'est dire le prix faramineux qu'a été prêt à payer le gouvernement pour protéger le masque d’une réouverture des cafés et restaurants dès janvier 2021. Même s’il fait mine aujourd’hui de vouloir rétablir la vie sociale, il vaut mieux le faire par nous-mêmes. Dès qu'il sentira son contrôle en danger, le politicard se retranchera peureusement derrière le masque.

La résistance contre les vaccins

Les "remèdes" apportés par les autorités au covid-19 ne font que tuer ou aggraver la situation depuis le départ. Le vaccin en fait indéniablement partie. Toutefois une remarque importante. À tous ceux des résistants (ils sont nombreux) qui se croient "malins" en s'attaquant de toutes leurs forces aux vaccins comme des mouches désespérées s'assommant contre un mur de briques, sachez que vous vous frottez à l'un des niveaux les plus SOLIDES de la pyramide inverse du covidisme ! C'est ce *** de MASQUE qu'il faut attaquer massivement ET collectivement à la base pour pouvoir couper TOUTE LA politique répressive vaccinale à la racine ! C'est LUI LE SEUL ET VRAI POINT FAIBLE DE TOUT LE COVIDISME QUI SOIT DANGEREUSEMENT À NOTRE PORTÉE.

Pour cela, créez autour de vous des événements similaires ou meilleurs que notre journée d'hier du printemps des sourires. Pour sauver des vies, appelez tous ces alerteurs mainstream influents à coordonner le démasquement général de tous leurs suiveurs le plus VITE POSSIBLE ! Un message que j'avais transmis à la Résistance dijonnaise disait en substance :

Si on pouvait faire plus, on le ferait. Si arrêter la crise consistait à charger seul un bataillon, je l'aurais fait ! Mais on doit SE DÉMASQUER ENSEMBLE POUR METTRE GRAVEMENT EN DANGER LE COVIDISME. Le salut de chacun d’entre nous passe aujourd’hui par « l’égoïsme » de la masse.

Notre principe est que jusqu’à maintenant toute la tyrannie covidique repose sur le socle du masque (qu’il soit obligatoire partout ou seulement dans les lieux clos). Et que la négation collective du masque signera la fin programmée du covidisme. Il y avait certes un peu de confusion en entrée et c'est parfaitement normal : nos sorties se clarifieront au fur et à mesure.

Nous sommes d'humbles pionniers en la matière. Nous construisons notre "armée" et nos solutions en même temps que les techniques pour les appliquer. C'est bien sûr difficile mais ce samedi a été globalement une journée très valorisante et ultra-inspirante pour la suite. Ne pas confondre la puissance et la violence. La seconde ne sert qu'à faire de nous les covidistes criminels de la prochaine crise. C'est la première qu'il faut rechercher sur de nouveaux plans - et elle a déjà commencé à nous sourire.

Les preuves fatiguent nos vérités et nos actions. Le peuple se comporte comme un fonctionnaire obéissant, le fonctionnaire comme un souverain arrogant « donnant le la » au peuple. Tout s'est inversé, même la pyramide des droits de Kelsen : un décret sur le masque est devenu plus sacré que les lois et la constitution elle-même sur la protection contre toute atteinte à la santé. Le covid justifiait le masque, aujourd'hui le masque justifie le covidisme. Les covidistes ne savent pas défendre leur covidisme, ni les anticovidistes leur anticovidisme. L'information est devenue l'opium de la résistance. Que dire de la puissance des arguments de nos adversaires si l'on a « raison » sans agir en conséquence ?

Si vous saviez la faiblesse dans cette force policière fictive… : nous en avons fait l'expérience. Nous avons cherché à titiller les limites des agents pour savoir quelles sont les bonnes règles à appliquer. Nous avions vraiment insisté pour qu'ils interviennent. On ne vise pas la police, sauf pour montrer que l'amende ne tue pas, que c'est le covidisme qui tue. Vous pouvez remettre vos masques en leur présence. Ils cherchent de moins en moins à verbaliser et se contentent de plus en plus de demander aux personnes démasquées de le remettre (nous sommes loin de la répression sauvage « à vue d’œil » de 2020). 

À beaucoup de ceux des "alerteurs" qui ont la rage, je conseille un bon médicament…pour les yeux : des solutions sont là mais ils ne les voient pas...car ils n'ont pas de grille de lecture des événements liés au covidisme. Je vais moi-même me désengager de plus en plus de ce flux étourdissant d'informations et de collectifs pour me concentrer sur un viralo-visuel. Avoir raison sans agir, se noyer dans l'information qui nous donne raison, donne raison au covidisme, donc renforce le covidisme : pourquoi ? Parce que l'inaction nous discrédite et prouve que le covidisme est encore plus justifiable que toutes ces "preuves" que l'on accumule contre lui.

Le covidisme nous aura rapprochés : promotion qui se retrouvera ailleurs dans d'autres combats. Le covidisme a le film, nous avons les héros : je voudrais que vous fassiez un truc qui fasse « baver » Tom Cruise, Bruce Willis et toute Hollywood. Comme toute la panique début 2020 a conduit à notre contrôle dans la rue par le masque, tout le reste des événements repose encore sur celui-ci mais cette fois de manière beaucoup plus instable...un gros coup de pied dessus et c'est toute la pyramide inversée du haut qui s'effondre. Parties stable en bas et instable en haut : flèche historique, mais aussi curseur de contrôle à double sens.

Nos alerteurs « anticovidisme » en sont à renforcer le covidisme par le bas : cf. Panique par l'information versus endormissement par l'information. Tant qu'ils libèreront de l'information sans action pour la suivre, ils conforteront la construction sur le masque de tout l'édifice covidique. Tant que nous ne donnerons même pas de petits coups de pieds en douceur sur ce point névralgique et talon d'Achille de l’épidémisme politique, nous resterons covidistes de fait et seulement résistants dans la forme.

Contrairement à beaucoup d'autres collectifs, nous nous sommes spécialisés dans l'attaque du masque, mais surtout nous savons pourquoi nous le faisons. Si vous êtes deux à faire la même chose : celui qui sait pourquoi il la fait ne la fait pas comme vous, il la fait mieux que vous.

Exemple : si le gouvernement a rendu les enfants à leurs foyers récemment, c'est peut-être surtout parce que le masque était devenu très polémique dans les écoles. Ses raisons sont différentes des vôtres.

Si l’on garde à l'esprit les deux mobiles du gouvernement et du complexe pharmaceutique :

1/ contrôle des masses par le masque

2/ fric des masses pour sortir du masque grâce aux vaccins,

il devient possible d’expliquer un très grand nombre de choses qui nous arrivent...

Imaginez si tous nos courageux résistants savaient vraiment toute la puissance des coups de butoir qu'ils mettaient contre la pyramide du covidisme par le seul fait de rejeter le masque ! Ils n'en seraient que plus motivés et plus nombreux ! Mais beaucoup d’antimasques ne réalisent pas encore la portée de leurs actions et croient que c'est surtout pour se défouler, protester, etc. NON encore une fois, ILS DÉTRUISENT LA RACINE DU COVIDISME 2021. D'où notre insistance sur la diffusion d'un schéma stratégique simple comme celui des deux pyramides posées l'une sur l'autre (image que l'on appelle viralo-visuelle).

Prêtant attention au risque de dispersion des grands rassemblements par nos amis policiers, nous avons privilégié un schéma en petits "commandos du sourire", très mobiles et très souples, pratiques pour une guérilla urbaine armée de sourires. Nous n'avons encore jamais été inquiétés à Dijon au cours de nos opérations organisées (des voitures de police nous effleuraient pourtant, mais on ne revendique rien justement, on ne manifeste pas et on ne provoque personne : c'est ça notre force).

Les « masques blancs » ont assez bien travaillé pour ridiculiser le masque auprès d’un certain nombre de personnes, nous travaillons d’ailleurs avec eux, mais il s’agit pour nous d’une étape en douceur pour attaquer ensuite plus profondément le masque. L'ironie est une bonne chose, mais elle confirme malgré tout notre attachement à l'objet que l'on ridiculise.

Et cela peut devenir pire que celui qui est carrément d'accord avec le port du masque : car le covidiste au moins est logique avec lui-même, pas l'anticovidiste qui rejette viscéralement le masque mais continue à le porter. Désolé d'avoir "tenu l'antenne", je souhaitais juste exprimer pourquoi entre autres je crois utile un petit brainstorming autour de nos objectifs et nos différentes conceptions du rôle de l'information dans la résistance.

Nous insistons sur le fait que la partie festive de la résistance est complémentaire et fondamentale, peut-être la plus importante : 1/ caricature du masque, puis 2/ authenticité du sourire sans masque...Mais sans une vision globale, il est difficile de bien doser les actions, savoir ce qui sert le plus, le moins, etc. à la résistance. Dotée à la fois d'une pensée stratégique et de ses armées valeureuses, notre Résistance serait invincible.

La plupart des alerteurs du peuple sont devenus mainstream à leur tour et ne se rendent pas compte que l'on crée des castes comme on respire. Et qu'ils ont fini par en former une nouvelle, dotée de la même intolérance, du même aveuglement, de la même haine du peuple, etc. que les castes qu'ils dénoncent. C'est toujours les mêmes inutiles que l'on voit partout. Comme pour les médias mainstream, la vérité n'est plus du côté des alerteurs mainstream : ils ont déjà tiré leurs cartes, leurs solutions n'ont abouti à quasiment rien malgré leur popularité.

Définition d’un confinement « soft »

Curseur entre le masque et l'enfermement strict. Pression par la rumeur, effet de surprise, soulagement des masses, acceptation des mesures restrictives, vaccins, etc. Le covidisme est affaibli et dans un état de confusion : il ne peut faire accepter ni le vaccin ni le contrôle. Le masque est très mal toléré, sans pour autant faire accepter le vaccin. C'est le moment où il faut achever le covidisme.

Le gouvernement a pris les vertus de la dictature et nous a laissé les vices de la démocratie

Le covidisme réussit grâce à sa propagande, son unité, son pragmatisme et son ancrage dans l’action. Il martèle la même information officielle, partout, sans même la justifier. La Résistance française de la 2nde guerre mondiale réussissait de même car elle n'avait qu'une seule voix (De Gaulle…) pour chapeauter les résistants. Nous autres aujourd’hui justifions tout, compliquons tout, parlons trop à la raison.

Certes, les covidistes ne savent pas trop pourquoi ils « y croient » à l’épidémie (ils y croient en général parce que d'autres y croient : mimétisme social), alors que les résistants anticovidistes savent pourquoi ils n'y croient pas, mais ils en savent…trop pour agir. Ils se divisent en innombrables partis (internet et les réseaux sociaux aidant…), s’inondant mutuellement d’infos plus ou moins nocives et inutiles avant de terminer leur course en paralysie totale de la résistance…

N.B. une vieille blague qui circulait pendant la guerre 39-45 illustre bien ce mal français persistant : « un Français, c’est un beau-parleur ; deux Français, c’est un parti politique ; trois Français…et c’est la grève nationale ». 

La plupart de nos alerteurs influents sont profondément divisés. Ils font partie du système et n'apportent pratiquement plus rien à notre cause, mis à part l'acceptation d'un « covidisme mièvre de la résistance » (bien adapté à la foule des résistants du dimanche et des guerriers en pâte de guimauve).

Notre nouveauté à nous : nous sommes passés radicalement à l’action systématique, en déambulé démasqués dans les zones interdites et nous savons pourquoi - faire perdre l’emprise sociale du masque sur les consciences.

Nous sommes comme Goebbels pour Hitler « l'arme de guerre » la plus puissante du gouvernement, mais également la vôtre. Nous enlevons le masque et nous savons pourquoi nous le faisons. Ce n'est pas le pouvoir du confinement qui intéresse les autorités, c'est le pouvoir du mot "confinement". C'est le masque qui valide le vaccin, on peut soi-disant « contester » le vaccin, mais on valide l'existence d'un danger en portant le masque, et donc indirectement l’importance de la recherche sur les vaccins.

Tant qu'il y aura le masque, il y aura la graine maléfique, la tête de la méduse d'où repoussera toute la pyramide inversée de la manipulation. L'année 2020 a servi à fabriquer cette graine, l'année 2021 à la faire pousser. Vous avez beau contester le vaccin, vous n'aurez de prise que sur le masque, l'acceptation du vaccin par beaucoup n'a rien changé à leur sort, car ils croient encore au masque, le gouvernement pourra toujours octroyer de faux allègements de contrôle, il prolongera l'usage du masque aussi longtemps que possible.

La majorité de nos militants sont des femmes

La femme, dit-on, est le repos du guerrier. Pas nos valeureuses filles de la résistance. Si vous n'êtes pas encore marié et avez l'âme d'un guerrier sans repos, épousez une fille de la Résistance.

Deux pyramides inversées pour sortir du cercle vicieux

Confinement pour donner plus de stabilité au masque menacé, masque = confinement portable pour donner plus de souplesse au confinement. Vivre le spectre d’un gros confinement est plus dur que porter le masque. Masque et confinement sont deux faces de la même pièce : quand l'un ne marche plus trop, c'est l'autre que le gouvernement utilise. Or un confinement lourd sera de moins en moins accepté par les gens : ils lui préféreront de plus en plus le masque. La technique de manipulation du gouvernement est ici la même qu’une technique commerciale bien connue.

En effet, tout le monde a remarqué l’existence de plusieurs marques de distributeurs de boissons dans les cafétérias. La raison en est simple : le client ne se demande plus s’il a « soif ou non » (interrogation bien naturelle), mais s’il préfère la boisson A ou la boisson B. Son besoin de consommer peut être créé de toutes pièces. De même, la victime de la manipulation covidique 2021 ne se demande plus si elle préfère vivre avec ou sans masque, mais si elle préfère le masque au confinement total, ou l’inverse...Sa réponse est vite trouvée. Idem pour le vaccin : « je préfère le vaccin au masque, ou le masque au vaccin ? », etc.

La meilleure manière de sortir de ces cercles vicieux serait de revenir aux vraies questions de notre bon sens : « ai-je réellement besoin du masque pour ma santé ? », « dois-je absolument me faire piquer ? »…Or, le bon sens général de la population ayant été sinistrement impacté, le carnaval des sourires reprend la technique psycho-commerciale en la détournant au service de la santé publique : il s’agit d’offrir un nouveau choix au passant entre ce masque morbide qui le rend malade et un beau sourire oxygéné et plein de vie.

"Ce qui étonne dans les excès des novateurs de la veille, c'est toujours la timidité" (Valéry)

Nous avons été vite censurés par youtube pour un appel international en anglais : nous sommes apparemment devenus le groupe le plus dangereux d'Europe. Dans les 7 de Chicago, il y a cette phrase qui nous a marqués : "We need some courage now". Les 7 de Dijon - juste avant la limitation des groupes à 6... Nos meilleurs "alliés", ceux qui appliquent le mieux nos préceptes, ne semblent pas être les résistants mais...le gouvernement. Je connais personnellement le gouvernement « comme si je l'avais fait ».

Oubliez ces « alerteurs » stériles. Visez, tirez sur le masque. Shoot the mask ! Cf. film "piège de cristal" : https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=nUG15ugK2t4

Vaincre la résistance…à la Résistance

La première étape de la résistance est de résister à l'oppression de l'ennemi. La seconde de résister à l'oppression de la fausse résistance contre la vraie. La dernière de se battre contre l'oppresseur pour le vaincre. Prochaines étapes, écoles, etc. Le printemps des sourires continue. Nous sommes comme des tireurs d'élite à qui on aurait dit "visez le masque, le masque, oubliez le reste, haro sur le masque !".

Nous avons prévu un million d'imprévus, c'est ça une bonne doctrine. Nous sommes la génération de la résistance "anticovidiste", nous nous retrouverons ailleurs et plus tard dans d'autres combats, etc. Et on durera d'autant plus longtemps que l'on n'attendra rien de la reconnaissance des autres.  

Inutilité des manifestations

Dans leur règlement, mis à disposition du public par les préfectures, est spécifiée l'obligation de respect des gestes sanitaires, donc l'interdiction de manifester contre le masque, autrement dit l'autorisation implicite de manifester « contre tout…sauf le masque ». Voilà qui confirme encore son rôle stratégique fondamental pour le gouvernement.

De plus, manifester, c’est revendiquer un droit, donc reconnaître quelque part la négociabilité de ce droit et la légitimité de se voir opposer un refus. Or, le droit de respirer librement sans masque est vital : il ne se demande pas, il se prend – de gré ou de force. 

Si certains croient que nous recherchons la notoriété

Se sont-ils regardés ? Sont-ils dignes d'être recherchés, adulés, "combien de sots faut-il pour faire un public", se demandait un écrivain. Vous aimez-vous tellement que vous croyez que votre admiration vaut encore quelque chose, vous les amateurs de vidéos de chien et de clips minables ? Même l’admiration est dévaluée de nos jours : on admire des nuls et on méprise des génies. D'autres se demandent mais comment vont-ils percer ou "s'imposer" face aux autres ? Mais en parlant des autres, tu parles en vérité de toi-même. Les défauts que tu pointes sont tes défauts. Ne t'occupe pas des autres, ne leur attribue pas ton mépris et ta médiocrité ! C'est ça la "bêtise des masses", c'est ce que tu es et penses toi d'abord, multiplié par mille ou un million de fantômes que tu inventes pour te justifier.

Les covidistes font tout pour faire croire que leur avis, bien qu'étrangement identique en tous points au discours officiel, serait libre, réfléchi et éclairé. Les anticovidistes n'ont pas besoin de se complexer, leur avis étant libre par essence - sauf s'ils s'opposent par principe - il est plus nuancé, souple, original, sincère. Les covidistes essaient souvent de brouiller leur point de départ pour faire croire à un raisonnement libre et à son aboutissement logique. Mais l'arrivée chez eux est identique au départ. Car ils ont beau cacher comme ils peuvent leur propre manipulation, leur avis n'est rien d'autre que celui du pouvoir officiel : bizarrement, d'où qu'ils semblent partir, ils y retombent.

Chez eux, c'est la vérité qui est soumise à l'imaginaire et au pouvoir politique. Ils ont abouti depuis 2020 à une véritable reconstruction sociale, mythologique, sectaire, fantasmagorique, de la réalité. Mais nous avons aussi nos covidistes de la Résistance. Leur discours peut se rapprocher du complexe à son tour lorsqu'ils veulent montrer à tout prix qu'ils ne sont pas "complotistes". Mais "l'anticomplotisme" a tellement trahi les confiances et la vérité, est devenu si bêtement pro-discours officiel, qu'être "complotiste" par défaut aujourd'hui est devenu synonyme d'intelligence et de lucidité.

Quelques recommandations de guérilleros du sourire pour vos propres sorties (à adapter à votre situation) :

1- Se donner rendez-vous entre amis ou collègues résistants en un lieu puis se promener tranquillement en petits groupes, de plus en plus nombreux.

2- Sourire aux gens masqués. Votre visage souriant est magique, l'un des vaccins les plus puissants contre l'épidémie de covidisme. Il leur rappelle leur naturel passé, effets sur leur émotions profondes (mêmes ressorts cachés que le marketing publicitaire) : le message s'adresse plus à l'affectif des gens qu'à leur raison ensorcelée par un an de propagande covidique (psychoses, restrictions, fake news médias, etc.).

3- Réactions calmes face aux passants et aux agents de police. Aucune violence : zéro mort, zéro blessé, zéro amende. Insister très gentiment avec les personnes souriantes derrière leur masque pour qu'elles en lèvent un coin : le simple fait de montrer librement leur sourire a un pouvoir magique qui les vaccine petit à petit contre le covidisme.

4- Remettre le masque face à la police ou la sécurité jusqu'à ce que nous soyons assez nombreux. Ce n'est pas la police que l'on vise mais les gens. Les fonctionnaires résistent à leur manière, souvent en fermant les yeux.

5- Pas de manifestations classiques, ni revendications directes : demander, c'est comme accorder à celui à qui on demande le droit de nous refuser la requête. Or personne ne peut nous refuser le droit à respirer et être en bonne santé, vivre sans masque. Ici on reprend tout simplement ce qui nous "appartient" fondamentalement : vivre, respirer et sourire librement.

6- Procéder par étapes tant jusqu'à ce que nous soyons suivis en masse : sorties démasquées d'abord dans les parcs, puis les rues, places publiques, magasins, transports en communs. Se fabriquer un drapeau "souriez" comme le nôtre que vous planterez partout en France au cours de votre reconquête du territoire. Envoyez-nous vos vidéos, photos et témoignages.

7- Accorder la priorité au retrait du masque dans les écoles : fédérer les résistants mais également les enfants des résistants. La prochaine révolution du sourire pourrait bien être déclenchée par les écoliers, vu l'inaction lâche et criminelle de beaucoup de parents. Fédérer les enfants de la résistance comme de vrais résistants : ce combat est le leur aussi et surtout (voir en annexe le pacte de New York sur les droits fondamentaux de l’enfant). Précisons ce point.

Résistance des enfants

Puisqu’on les fait souffrir comme des adultes, il ne faut pas leur demander de réagir comme des enfants : il faut les former aussi à la résistance. Ne sont-ils pas assez mûrs pour résister comme des grands ? Bizarrement, on ne fait que de parler à la place des enfants, que les "représenter", plutôt que de les laisser s'exprimer…Nous avons créé une commission spéciale pour s’occuper du bien-être et de la résistance des enfants et de leurs parents. Elle leur permettra de se réunir et d’échanger leurs expériences avec d’autres enfants de leur âge : les parents d’entre nous ont déjà pratiqué leur thérapie collective en se retrouvant entre résistants…pourquoi en priver leurs enfants, les laisser dans un isolement traumatique ? 

La vraie grandeur d’un « adulte » n’est pas d’être un grand homme, elle réside dans sa capacité à se faire assez petit pour adopter le point de vue d'un enfant. Il y a aujourd’hui perte de l'instinct de protection parental. Ce sont peut-être leurs enfants qui les sauveront par une sorte de "révolution par le bas". Le petit garçon de l’amie d’une de nos résistantes, Lucas, a parfaitement décrit la situation qu’il subissait, avec une éloquence rare : "ce n'est pas mon cancer qui me tue, c'est le masque ! Il me prive de l'oxygène dont j’ai besoin !"

Nous, idéalistes ?

Certains nous taxent d'idéalistes parce que nous visons "zéro mort". Oui nous sommes bien idéalistes, mais plus réalistes qu'eux : viser un pourcentage minimum non nul de morts, c'est s'empêcher d'être plus intelligent encore, de faire tourner son système D à plein régime, de créer de nouvelles solutions géniales pour éviter la violence, et c'est aussi avoir du sang sur les mains dès le départ puisque nous devenons ces monstres qui s'autorisent un certain nombre de crimes au nom des statistiques (cf. Staline, etc.).

À la remarque que "des gens ne nous voient pas" lors de nos opérations : nous travaillons sur une partie inconsciente d'eux-mêmes, un peu comme les messages subliminaux, mais on le fait à visage découvert. Commandos des sourires, guérilla des sourires, nouvelle mode de faire la guerre. Pourquoi faire violence, déclencher une guerre civile, au lieu d'enlever le masque tous ensemble ? Le printemps est souvent la saison des révolutions douces et clémentes. Et c'est une véritable Révolution par les sourires qui est en train de voir le jour.

Le peuple : des « moutons » ?

C’est une comparaison ou une métaphore que l’on croise très souvent. Évitez de traiter de "mouton" les hommes de 2020/21 : vous insultez les moutons et grandissez injustement ces hommes. Un mouton sait reconnaître ses bergers, se laisse guider, ne suit pas n'importe qui, excelle en discipline, en organisation, en instinct conservateur. Ni les résistants, ni les covidisés pour l'instant ne méritent le vocable de "moutons".  Nous sommes plus proches d’un troupeau de bergers égarés que d'une armée de moutons. C'est un mouton égaré qu'il faudrait traiter d'humain, mais il ne fera jamais rien qui vaille cet opprobre.

Complémentarités ou oppositions entre collectifs ?

Sommes-nous le carnaval des sourires seulement la main mécanique de l'action, là où d'autres collectifs seraient le cerveau, les yeux, le cœur, etc. ? En réalité nous sommes plus proches d'un corps complet et fonctionnel que les autres, nous avons autant développé notre capacité de réflexion et de stratégie que d'action de terrain. Nous ne formons pas encore un ensemble d'organes en harmonie avec les autres collectifs car beaucoup trop de différences nous séparent encore : la stratégisation de nos actions face à leur refus d'agir, le sens de l'urgence, la priorité du terrain sur l'opium de l'information, etc. Certains nous voient complémentaires avec eux alors qu'ils n'ont même pas encore dépassé le stade de voir que nos méthodes s'opposent radicalement.

Le masque a peu à peu remplacé l'épidémie.

À ceux qui ont encore du mal à admettre l'importance centrale du masque, il suffit de voir son maintien persistant par le nouveau décret du 1er juin 2021, au-delà de tout argument "sanitaire" raisonnable, malgré le relâchement des mesures, déconfinement, limites du couvre-feu, réouverture restaurants cafés, etc. Et qu’il a été la dernière mesure à avoir été assouplie ce jeudi.

Autant les gens croient à un virus qu'ils ne voient pas et associent le signal du masque à la maladie, autant il est possible de leur faire « voir » le pouvoir d’un sourire qui se transmet et se propage également de façon invisible et d’associer le non-port du masque à la santé grâce à ce sourire.

Ne venez pas nous reprocher de sortir les gens de leur "zone de confort" en pleine jungle. C'est la crise qui veut ça. En temps de paix, notre discours serait différent. À chaque coup de gueule de notre part, nous ramenons des gens valables qui en valent chacun plusieurs. Ceux qui nous fuient sont aveugles, ceux qui nous aiment sont clairvoyants, ceux qui nous rejoignent sont éblouis. On ne voit que les seconds. Les fuyards n'existent pas encore pour nous.

Que se passerait-il si tout le monde faisait tomber le masque ? Soit il n'y aurait plus d'épidémie - et plus aucune mesure « sanitaire » serait justifiée - soit tout le monde serait vacciné (chose quasi-impossible) : le port du masque est donc nécessaire au contrôle du peuple par le gouvernement car il signale précisément et artificiellement l’existence d’une épidémie. Les gens auront beau refuser vaccins, pass sanitaire, etc. ils justifieront toujours implicitement leur utilité en portant le masque – car qui dit masque, dit épidémie...

Masque versus vaccin

Le masque est plus "puissant" que le vaccin : en France particulièrement, même les vaccinés n'ont pas été dispensés de porter le masque. Contrairement au vaccin, le masque a été rendu obligatoire. De plus, les gouvernements restent flous et évasifs quant à la levée totale de son obligation. Le vaccin servirait-il aussi au contrôle des masses (nanoparticules, etc.) ? Rien n’est formellement prouvé en ce sens, mais

Que se passerait-il si un maximum de gens se vaccinait ? Il ne resterait manifestement en majorité que des « antimasques » obligés de porter un masque, de subir le pass sanitaire, de se voir refuser l’entrée à des restaurants, cinémas, etc. Toutefois, cela aurait des effets de filtration, de concentration et d'intensification de la résistance. Privés de plus de droits, reconnaissables entre eux, les résistants, même les plus réticents, vont être poussés à enlever le masque et réagir en masse. Il ne semble donc pas dans l'intérêt de la plupart des gouvernements de faire vacciner de force tout le monde (aux USA, le choix a été proposé clairement par le président : "c’est le masque ou le vaccin", mais le gouvernement français est plus réticent).

On entend souvent qu'il y a encore beaucoup de gens qui « croient au covid », mais il faut distinguer ici entre croyance et conviction. La plupart ne savent pas pourquoi ils y croient (croyance superficielle des rumeurs, qui se trahit vite à la discussion). Nous résistants savons pourquoi nous n'y croyons pas (en tout cas pas comme on nous le raconte), c'est de la conviction.

Attendre ou non un ou des « sauveurs » ?

D’abord, pour les sceptiques, oui les sauveurs existent : il y en a toujours eu et il y en aura encore. Ils apparaissent à chaque crise suffisamment forte. Mais il ne faut pas les attendre s'ils tardent. Il faut soit les faire sortir de leur tanière, soit carrément les fabriquer, les former, les entraîner. Ces cas de figure ont également eu lieu dans le passé dans des groupuscules identifiés au départ comme des sectes. Toute secte ne finit par forcément dans la vérité. Mais toute vérité a commencé par être une secte, un petit nombre de convaincus qui ont assez cru en eux-mêmes pour la faire triompher. 

« Autre monde » ou « autre peuple » ?

L'un de nos buts au carnaval des sourires est justement que chacun devienne responsable un jour, que notre promotion devienne une pouponnière d'élites du monde de demain. Il ne s'agit pas de faire un "notre monde" avec le même peuple, mais un autre peuple avec le même monde et c'est ça qui fera que le monde deviendra différent. D'où l'importance de nous transformer dès maintenant en saisissant cette occasion de crise, de régler des maintenant nos problèmes d'ego et de pouvoir. 

La tyrannie covidique a pris les qualités de la dictature et nous a laissé les vices de la démocratie. Il faut donc savoir s’organiser efficacement pour faire le poids. En général mais ça peut être bien de laisser un peu tout le monde être le chef, surtout dans le monde des arts. Le carnaval des sourires est quant à lui un mélange de créativité artistique et d’action « politique » (au sens non politisé d’engagement sur le terrain pour contrer des décisions politiques). L'art c'est de la divergence, l'action c'est de la convergence, un peu en double pyramide.

Les Français sont devenus un petit peuple de fonctionnaires bien obéissants aux gens censés leur obéir. On lui fait croire que le masque est le résultat de sa propre volonté. La démocratie est ainsi devenue le seul régime qui prétend qu'un peuple s'étouffe de ses propres mains. Le Français dit-on, habitué à son masque social (le mot « hypocrisie » ayant l’étymologie grecque de « masque »), sera-t-il le dernier peuple à enlever son masque « sanitaire » ?

D’ailleurs, il est même du droit et du devoir des fonctionnaires de désobéir devant des ordres illégaux. Nous avions déjà rappelé les articles afférents en droit administratif et militaire dans notre manifeste :

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/02/sortir-du-covid19-vers-un-manifeste-du-realisme.html

Notre appel pacifique s’adresse également aux policiers, magistrats, armées, etc. pour qu'ils respectent le choix sacré des citoyens qu’ils ont la mission de servir. D'ailleurs, la loi protège tous les fonctionnaires et soldats contre les représailles de leurs supérieurs lorsqu’ils refusent de se prêter à des mesures ignobles, illégales ou contraires à l’éthique (comme l’interdiction du droit à sortir, circuler ou...respirer librement même pour les personnes bien-portantes). Voir par exemple : loi n° 83.634 sur le statut des fonctionnaires du 13 juillet 1983, article 28, le fonctionnaire "doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique sauf dans le cas où l'ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public". Idem pour les militaires, voir le bulletin officiel des armées n° 45, décembre 2005, décret n°2005-796, dans son article 7 : « le subordonné ne doit pas exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal ou contraire aux règles du droit international applicable dans les conflits armés et aux conventions internationales en vigueur en France ».

Les fonctionnaires ne demandent qu'un petit coup de pouce du peuple pour résister et confirmer la souveraineté populaire, pendant que le peuple se comporte comme des fonctionnaires obéissants attendant un geste de l'administration. C'est aux fonctionnaires d'obéir ou de désobéir à leur hiérarchie, pas au peuple qui n'est censé obéir qu'à lui-même, à sa propre volonté fidèlement représentée.

Cette nouvelle forme de guerre psychologique à l'extrême ne favorise pas l'unité de la résistance : elle donne aux résistants chaque soir l'impression que tout va mieux, chaque matin le sentiment que tout va plus mal (ou l'inverse), alors qu'une guerre physique donne moins de répit et maintient les troupes sous pression quasi-constante et donc en meilleure cohésion que nous.

S'éveiller ne sert à rien, si c'est pour…rester dans son lit

Au carnaval des sourires, on ne rigole pas avec la résistance. Beaucoup de résistants se vantent de leur « éveil » à coups d’infos en tous genres. Mais bizarrement ils ne font rien d’autre…dès qu’on les invite à l’action, il n’y a plus personne. Or, le dormeur qui veut vraiment s’éveiller se lève et se remet sur pieds pour attaquer sa matinée. Il ne se rendort pas dans son lit douillet d’informations... 

Notre méthode est pragmatique, scientifique et expérimentale : approche sur le terrain, résultats empiriques, consolidation de la théorie. Originalité par rapport à la plupart des collectifs de résistance dont l'approche est encore purement abstraite et frileuse du contact froid avec le « dur réel ». 

Dans la résistance, 0% risque n'existe pas, par contre 0% excès de risques est tout à fait possible. Nous avons procédé par exemple ainsi :

1er niveau, notre règle par défaut : mettre le masque dès que l'on voit la police.

2ème niveau : ne mettre le masque que si la police nous le demande.

3ème niveau : enlever le masque devant la police ou non. Éviter de rester statique : moins de chance de contrôle.

[Édit : nous avons commencé à passer au 3ème niveau en juin 2021]

Encore une fois, la tyrannie covidique a pris les qualités de la dictature et nous a laissé les vices de la démocratie. Finalement, nous ne sommes jamais « sortis » de la démocratie : nous sommes devenus « démocratistes » - une pure caricature de citoyens démocratiques. Chez de nombreux résistants, la vérité a peu à peu été remplacée par l'information. Et l'information nous mène à la « patience » et « l'espoir » sans plus se soucier de la vérité, ni de l'action. La boucle est bouclée, les résistants trop « informateurs » deviennent complices de la manipulation gouvernementale.

La logique populaire de base s'est elle-même inversée, devenant circulaire (« il y a le Covid-19 puisque je porte le masque », « je dois porter un masque parce que c’est obligatoire », etc.), l’implication A => B (« A implique B ») devient B => A (« B implique A »), d’où : A => B => A…, la cause devient la conséquence et la conséquence la cause. Mais, d’un autre côté, cette maladie de l’inversion logique est une immense aubaine pour les résistants du sourire : il devient possible d’attaquer la conséquence pour détruire la cause (comme détruire le covidisme en arrachant le masque…). Notre travail consiste en une sorte de reprogrammation « logico-émotionnelle » des victimes.

Dans la rue, on demande aux gens de choisir entre sourire (sans masque) ou souffrir (derrière un masque). L’acte d’enlever le masque est positif : on enlève quelque chose que l'on a déjà sur soi. Il est différent et autrement plus significatif que l’acte de refuser le vaccin (on repousse quelque chose que l'on n’a pas).

Rodin et la méthode de sculpture de Michel-Ange.

Pour le célèbre Rodin (sculpteur du fameux « Penseur », etc.) l’art c’était en esprit, en accord avec l’école de la Renaissance italienne, tout ce qu’il resterait d’une statue en bloc jetée du haut d'une hauteur : pas de superflu, que des traits massifs, solides…Un test de résistance en quelque sorte. Que resterait-il de la résistance anticovidique si l’on procédait ainsi ? Pas grand-chose une fois débarrassée de sa gangue d’informations inutiles…mais on toucherait alors à l’essentiel : à la fois œuvre d’art au sens de Rodin et fille du mouvement, une Résistance est un chef-d’œuvre d’action pure. C’est un peu la méthode du Carnaval des sourires.

Nous sommes alerteurs et, comme les montres-réveils, sonner toujours l'alarme ça peut finir par endormir. Alerteurs « mainstream » : deux moitiés de vie, d'abord ils réveillent les gens, ensuite ils endorment la résistance (trafic d'opium etc.). Dans notre groupe, nous avons réussi à contrôler l’arrivée d’information (l’« opium de la résistance »), tout en restant très bien informés, ce qui est un énorme bon point...mais nous risquons peut-être de tomber dans l’opium à notre tour dans quelques semaines ou quelques mois si nous ne mettons pas à contribution nos abonnés, suiveurs, admirateurs etc.

Nous faisons d’abord ce « film » du carnaval des sourires pour avoir des acteurs sur le terrain, pas seulement des consommateurs. D’où l’idée entre autres d’un concours national des opérations du sourire. Voir notre chaîne pour plus de détails :

https://youtube.com/channel/UCDeQMPbR0vrmfoea1J5rC5g

Plus on est de fous, plus on…sourit. Alors, rejoignez-nous.

Sourions à la vie, retirons les masques de la mort, la liberté nous le rendra. Nous demandons à tous les alerteurs mainstream, au risque d'être jugés bientôt comme collaborateurs et complices de crimes contre l'humanité, de rabattre leurs égos derrière leur devoir, se contacter tous pour se fédérer une bonne fois pour toutes, d'une seule voix, contre le port obligatoire du masque pour tous les enfants et personnes en bonne santé.

Le jour où ces actions se multiplieront sur toute la France, que la nouvelle se répandra partout jusqu’aux autorités, alors sortir démasqués redeviendra notre première nature : n’importe qui pourra spontanément retirer son masque devant la police, seul ou en groupe, sous prétexte que « ben, les gens commencent à l’enlever en masse, et ils ne tombent pas malades, alors pourquoi pas moi ? Allez-le dire aux autres ! C’est pas juste ! Je l’enlève aussi ! ». Le levier de commande de cette action est très simple : en France, l’égalité est plus importante que la liberté (on le sait depuis Tocqueville). C’est pourquoi l’on opprime tout le monde aujourd’hui avec le masque, malade ou non malade, vacciné ou non vacciné, testé positif ou non : au nom de l’égalité, du « qu’en diront-les autres ? ». Mais il est parfaitement possible d’inverser cette règle au profit de la Résistance : si « trop » de gens enlèvent le masque, alors le principe d’égalité obligera naturellement tout le monde à le retirer.

La seule rumeur d’une révolution des sourires se transformera en nouveau conformisme social, une transformation intérieure des peuples, digne de la belle époque où l’on vivait sans masques.

À votre tour

Maintenant dîtes stop au blabla stérile, place aux paroles fécondes, oui à l'action virale !

Merci à tous et en particulier à nos amis du Grand Théâtre dijonnais !

carnavalsourire@gmail.com

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/02/sortir-du-covid19-vers-un-manifeste-du-realisme.html

Venez boire un verre de sourire avec nous sur Youtube, Facebook, Twitter…

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Photo du commandant aviateur Mouchotte (2nde guerre mondiale) pour illustration.

Photo du commandant aviateur Mouchotte (2nde guerre mondiale) pour illustration.

Schéma double pyramidal de contrôle des masses par les masques

Voir article détaillé : « Un fichier secret s'est évadé du gouvernement ? Ou comment te manipuler... »

https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/05/un-fichier-secret-s-est-evade-du-gouvernement-ou-comment-te-manipuler.html

Le discours du général :  « notre projet…devenir fous »

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Convention de l’ONU relative aux droits de l’enfant

https://www.ohchr.org/FR/ProfessionalInterest/Pages/CRC.aspx

Préambule

Les États parties à la présente Convention,

Considérant que, conformément aux principes proclamés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine ainsi que l'égalité et le caractère inaliénable de leurs droits sont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,

Ayant à l'esprit le fait que les peuples des Nations Unies ont, dans la Charte, proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme et dans la dignité et la valeur de la personne humaine, et qu'ils ont résolu de favoriser le progrès social et d'instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,

Reconnaissant que les Nations Unies, dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et dans les pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, ont proclamé et sont convenues que chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés qui y sont énoncés, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation,

Rappelant que, dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, les Nations Unies ont proclamé que l'enfance a droit à une aide et à une assistance spéciales,

Convaincus que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l'assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté,

Reconnaissant que l'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur, d'amour et de compréhension,

Considérant qu'il importe de préparer pleinement l'enfant à avoir une vie individuelle dans la société, et de l'élever dans l'esprit des idéaux proclamés dans la Charte des Nations Unies, et en particulier dans un esprit de paix, de dignité, de tolérance, de liberté, d'égalité et de solidarité,

Ayant à l'esprit que la nécessité d'accorder une protection spéciale à l'enfant a été énoncée dans la Déclaration de Genève de 1924 sur les droits de l'enfant et dans la Déclaration des droits de l'enfant adoptée par l'Assemblée générale le 20 novembre 1959, et qu'elle a été reconnue dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (en particulier aux articles 23 et 24), dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (en particulier à l'article 10) et dans les statuts et instruments pertinents des institutions spécialisées et des organisations internationales qui se préoccupent du bien-être de l'enfant,

Ayant à l'esprit que, comme indiqué dans la Déclaration des droits de l'enfant, «l'enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d'une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d'une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance,

Rappelant les dispositions de la Déclaration sur les principes sociaux et juridiques applicables à la protection et au bien- être des enfants, envisagés surtout sous l'angle des pratiques en matière d'adoption et de placement familial sur les plans national et international, de l'Ensemble de règles minima des Nations Unies concernant l'administration de la justice pour mineurs (Règles de Beijing) et de la Déclaration sur la protection des femmes et des enfants en période d'urgence et de conflit armé,

Reconnaissant qu'il y a dans tous les pays du monde des enfants qui vivent dans des conditions particulièrement difficiles, et qu'il est nécessaire d'accorder à ces enfants une attention particulière,

Tenant dûment compte de l'importance des traditions et valeurs culturelles de chaque peuple dans la protection et le développement harmonieux de l'enfant,

Reconnaissant l'importance de la coopération internationale pour l'amélioration des conditions de vie des enfants dans tous les pays, en particulier dans les pays en développement,

Sont convenus de ce qui suit :

Première partie

Article premier

Au sens de la présente Convention, un enfant s'entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable.

Article 2

1. Les États parties s'engagent à respecter les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant relevant de leur juridiction, sans distinction aucune, indépendamment de toute considération de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou autre de l'enfant ou de ses parents ou représentants légaux, de leur origine nationale, ethnique ou sociale, de leur situation de fortune, de leur incapacité, de leur naissance ou de toute autre situation.

2. Les États parties prennent toutes les mesures appropriées pour que l'enfant soit effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique, les activités, les opinions déclarées ou les convictions de ses parents, de ses représentants légaux ou des membres de sa famille.

Article 3

1. Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale.

2. Les États parties s'engagent à assurer à l'enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être, compte tenu des droits et des devoirs de ses parents, de ses tuteurs ou des autres personnes légalement responsables de lui, et ils prennent à cette fin toutes les mesures législatives et administratives appropriées.

3. Les États parties veillent à ce que le fonctionnement des institutions, services et établissements qui ont la charge des enfants et assurent leur protection soit conforme aux normes fixées par les autorités compétentes, particulièrement dans le domaine de la sécurité et de la santé et en ce qui concerne le nombre et la compétence de leur personnel ainsi que l'existence d'un contrôle approprié.

Article 4

Les États parties s'engagent à prendre toutes les mesures législatives, administratives et autres qui sont nécessaires pour mettre en œuvre les droits reconnus dans la présente Convention. Dans le cas des droits économiques, sociaux et culturels, ils prennent ces mesures dans toutes les limites des ressources dont ils disposent et, s'il y a lieu, dans le cadre de la coopération internationale.

Article 5

Les États parties respectent la responsabilité, le droit et le devoir qu'ont les parents ou, le cas échéant, les membres de la famille élargie ou de la communauté, comme prévu par la coutume locale, les tuteurs ou autres personnes légalement responsables de l'enfant, de donner à celui-ci, d'une manière qui corresponde au développement de ses capacités, l'orientation et les conseils appropriés à l'exercice des droits que lui reconnaît la présente Convention.

Article 6

1. Les États parties reconnaissent que tout enfant a un droit inhérent à la vie.

2. Les États parties assurent dans toute la mesure possible la survie et le développement de l'enfant.

[…]

Article 12

1. Les États parties garantissent à l'enfant qui est capable de discernement le droit d'exprimer librement son opinion sur toute question l'intéressant, les opinions de l'enfant étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité.

2. À cette fin, on donnera notamment à l'enfant la possibilité d'être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l'intéressant, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un représentant ou d'une organisation approprié, de façon compatible avec les règles de procédure de la législation nationale.

[…]

Article 18

1. Les États parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement. La responsabilité d'élever l'enfant et d'assurer son développement incombe au premier chef aux parents ou, le cas échéant, à ses représentants légaux. Ceux-ci doivent être guidés avant tout par l'intérêt supérieur de l'enfant.

2. Pour garantir et promouvoir les droits énoncés dans la présente Convention, les États parties accordent l'aide appropriée aux parents et aux représentants légaux de l'enfant dans l'exercice de la responsabilité qui leur incombe d'élever l'enfant et assurent la mise en place d'institutions, d'établissements et de services chargés de veiller au bien-être des enfants.

3. Les États parties prennent toutes les mesures appropriées pour assurer aux enfants dont les parents travaillent le droit de bénéficier des services et établissements de garde d'enfants pour lesquels ils remplissent les conditions requises.

Article 19

1. Les États parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toute forme de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu'il est sous la garde de ses parents ou de l'un d'eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.

2. Ces mesures de protection doivent comprendre, selon qu'il conviendra, des procédures efficaces pour l'établissement de programmes sociaux visant à fournir l'appui nécessaire à l'enfant et à ceux à qui il est confié, ainsi que pour d'autres formes de prévention, et aux fins d'identification, de rapport, de renvoi, d'enquête, de traitement et de suivi pour les cas de mauvais traitements de l'enfant décrits ci-dessus, et comprendre également, selon qu'il conviendra, des procédures d'intervention judiciaire.

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